Je ne sais pas si c'est un truc propre à l'époque ou dû aux limitations techniques mais les scénaristes pouvaient partir très loin pour compenser ça. Les designeurs n'étaient pas en reste et savaient pousser les limites de leur machines pour donner naissance à des univers bien barrés.
Sans aller chercher loin, je trouve que les vieux Doom éveillent toujours chez moi ce sentiment de bizarrerie et de malaise, là où des trucs plus modernes de part leur recherche d'une approche d'un certain réalisme visuel sont beaucoup moins marquant.
J'avais plein de CD de trucs shareware complétement oubliés aujourd'hui qui me mettaient mal à l'aise ou m'émerveillaient. Peut-être étais-je encore jeune et impressionnable aussi.