Il y a près de 140 ans, Édouard Drumont achevait son livre La France juive, ouvrage aux proportions d’un séisme avec près de 200 éditions en 60 ans, secouant une France démocratique, brinquebalante, édifiée sur le désastre de la défaite de 1870.
On mesure, un siècle et demi plus tard, que jamais la France n’a été aussi intensément juive qu’aujourd’hui. Non seulement la France, mais l’Europe et le monde occidental en son intégralité.
Drumont a plus raison aujourd’hui qu’il y a un siècle et demi de cela. À cette époque, il n’y avait pas le cinéma, la télévision, la radio, ou internet pour voir et entendre le juif tel qu’en lui-même, se dévoiler à son aise et régner en tyran sur nos vies.
“Le juif a pris possession de la France entière, il est maître partout, il est chez lui, il commande, il nargue, il insulte.” (Tome I, p. 5)
Au moment où Larry Fink, PDG de Black Rock, finalise sa prise de contrôle du Forum Économique Mondial, la clairvoyance révolutionnaire d’un Drumont, bonhomme, stupéfie.
“La fortune des Rothschild est quelque chose d’effrayant ; elle dépasse tout ce qu’on peut imaginer. Elle est hors de proportion avec quoi que ce soit.” (Tome I, p. 234)
À l’heure de CNews et de BFMTV, où la juiverie mondiale, depuis son quartier-général en fusion peut dicter ses slogans et interdire la moindre incartade, Drumont perce, illumine, émancipe et foudroie.
« La presse est presque entièrement aux mains des juifs, qui, sous des noms d’emprunt, dirigent l’opinion publique. » (Tome II, p. 112)