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Notre position actuelle par rapport à l’architecture du IIIeReich, faite d’une grande proximité temporelle et d’une considérable distance idéologique, est à vrai dire la seule que la fiction ruiniste du national-socialisme, telle que nous allons l’étudier, ne se soit pas donné la peine de prévoir et d’imaginer. Nous sommes encore tout près du IIIe Reich, et pourtant nous vivons après lui, avec les conséquences que cela ne manque pas d’avoir sur le regard que nous portons vers cette architecture. Ou celle-ci s’offre désormais dans un relatif anonymat ou alors elle a connu ce que Françoise Choay qualifie d’anéantissement symbolique. Lorsque, entre ces deux extrêmes, elle existe dans un abandon révélateur, cette désaffection est encore trop légère pour se donner à lire, à même la structure des édifices, à l’aide de la théorie des ruines. Nous contemplons, là où la ruine s’annonce, comme au complexe de Nuremberg, plutôt que des voûtes effondrées, des marques qui ne sont pas à l’échelle de la démesure anticipée par la théorie de Speer: de simples meurtrissures de la pierre ou une graphie de lézardes qui n’ont rien des contours généraux échevelés ou du sublime effondrement des combles prévus par l’architecte. C’est peut-être en quoi la théorie des ruines de Speer rend particulièrement inconfortable. Elle rappelle que les grands édifices du Reich ne furent conçus, “ ni pour l’an 1940, ni pour l’an 2000 mais pour durer mille ans ”, comme le disait Hitler. Ce disant, le Führer pariait, sans le connaître, sur Le culte moderne des monuments*, bien analysé dès 1903 par Alois Riegl, un autre citoyen de la ville de Linz où Hitler est né.

* https://journals.openedition.org/socio-anthropologie/5
Replies: >>244
Yuval Noah Harari, historien, futurologue et conseiller du Forum économique mondial (WEF), a déclaré : « Nous n’avons tout simplement pas besoin de la grande majorité de la population au début du XXIe siècle, étant donné que les technologies modernes rendent le travail humain superflu sur le plan économique et militaire. »
Les remarques de Harari ont été faites dans une interview avec Chris Anderson, le directeur de TED, publiée mardi. Il a estimé que la désillusion contemporaine répandue parmi les gens ordinaires était due à la peur d’être laissé pour compte dans un avenir dirigé par des gens intelligents. Ces craintes sont justifiées, a-t-il ajouté, compte tenu de sa projection selon laquelle les technologies émergentes vont déplacer les besoins économiques vers de nombreuses catégories de travail existantes : « Beaucoup de gens ont le sentiment d’être laissés pour compte et d’être exclus de l’histoire, même si leurs conditions matérielles sont encore relativement bonnes. Au 20e siècle, ce qui était commun à toutes les histoires – libérale, fasciste, communiste – c’est que les grands héros de l’histoire étaient les gens ordinaires, pas nécessairement tous les gens, mais si vous viviez, disons, en Union soviétique dans les années 1930, la vie était très sombre, mais quand vous regardiez les affiches de propagande sur les murs qui dépeignaient l’avenir glorieux, vous y étiez. Vous regardiez les affiches qui montraient des ouvriers sidérurgiques et des agriculteurs dans des poses héroïques, et il était évident que c’était l’avenir. Maintenant, quand les gens regardent les affiches sur les murs, ou écoutent les conférences TED, ils entendent beaucoup de ces grandes idées et de ces grands mots sur l’apprentissage automatique et le génie génétique et la blockchain et la mondialisation, et ils ne sont pas là. Ils ne font plus partie de l’histoire de l’avenir, et je pense que – encore une fois, c’est une hypothèse – si j’essaie de comprendre et de me connecter au profond ressentiment des gens, dans de nombreux endroits dans le monde, une partie de ce qui pourrait se passer là est que les gens réalisent – et ils ont raison de le penser – que, l’avenir n’a pas besoin de moi. Vous avez tous ces gens intelligents en Californie, à New York et à Pékin, et ils planifient cet avenir incroyable avec l’intelligence artificielle, la bio-ingénierie, la connectivité mondiale et tout le reste, et ils n’ont pas besoin de moi. Peut-être que s’ils sont gentils, ils me jetteront quelques miettes, comme un revenu de base universel, mais il est bien pire psychologiquement de se sentir inutile que de se sentir exploité. »
Harari a opposé le 20e siècle au 21e tout en prévoyant ce qu’il a dit être la diminution progressive du besoin d’êtres humains du siècle actuel et des économies futures. Il a déclaré : « Si vous revenez au milieu du 20e siècle – et peu importe que vous soyez aux États-Unis avec Roosevelt, ou en Allemagne avec Hitler, ou même en URSS avec Staline – et que vous pensez à construire l’avenir, alors vos matériaux de construction sont ces millions de personnes qui travaillent dur dans les usines, dans les fermes, les soldats. Vous avez besoin d’eux. Sans eux, il n’y a pas d’avenir possible. Maintenant, avançons rapidement jusqu’au début du 21e siècle, lorsque nous n’avons tout simplement plus besoin de la grande majorité de la population  » conclut-il, « parce que l’avenir consiste à développer des technologies de plus en plus sophistiquées, comme l’intelligence artificielle [et] la bio-ingénierie, La plupart des gens n’y contribuent pas, sauf peut-être pour leurs données, et tout ce que les gens font encore qui est utile, ces technologies le rendront de plus en plus superflu et permettront de remplacer les gens. »
The disco ball typically spins at a constant rhythm, undisturbed by whatever is happening within the venue it occupys. This is an accepted event by most, but here Mizutani breaks the social contract. He employs his elevated position on stage as an advantage to disturb the constant state of the disco ball, like the speed it spins at and it’s axis. This act is expected of LRD as they engulfed live houses with high pitched feedback under the guise of a strobe light. Down to Mizutani’s soft spoken singing coupled in with sporadic grunts and screams. This is in step with their provocative nature.
Cela suppose de procéder à un Great Reset alternatif. C’est la version positive de celui de Klaus Schwab. Au lieu d’euthanasier les prolétaires blancs, le front du peuple agrarien et ouvrier euthanasiera les exploiteurs des grandes villes, par millions. Tous les utilisateurs de trottinettes seront passés par les armes. Les étudiants en sciences sociales seront arrêtés comme agents de la CIA et déportés vers des unités spécialement dédiés au prélèvement d’organes pour les enfants du peuple. Les dons du sang seront systématiques pour ces conspirateurs – à raison de 3 litres par terroriste.
According to research by the newspaper, the authority has invested heavily in “virtual agents” since 2019, which it finances with taxpayers’ money. Both the federal office and the federal states employ spies, who besides right-wing extremists, are also tasked with keeping an eye on left-wing extremists, Islamists, and the “conspiracy-ideological” scene.

However, the activities of the BfV running hundreds of right-wing extremist accounts have come to light at the same time that Germany’s left-wing government has labeled right-wing extremism the biggest threat to the country, despite data showing that left-wing extremists and radical Islam pose bigger threats. The country’s interior minister, Nancy Faeser, has launched a 10-point plan to fight “right-wing extremism,” and much like the Biden administration in the United States, has turned the domestic security state against political opponents as well as labeling them terrorism threats and a danger to democracy. In Germany’s case, the opposition conservative Alternative for Germany party (AfD) is actively surveilled in certain federal states, with membership in the party the only prerequisite for agents being able to read emails and listen in on telephone calls of these private citizens.

With the BfV operating hundreds of right-wing extremist accounts, the agency argues that it is about “playing a little right-wing radical yourself” in order to gain the trust of other users. The employees of the Office for the Protection of the Constitution are likely to conduct “propaganda” for this and sometimes also commit crimes such as “incitement to hatred.”

However, what exactly these extremist accounts are posting that involve “incitement to hatred” is unclear, as there is little to no public oversight regarding these activities.

“In order to be really credible, it is not enough to share or like what others say, you also have to make statements yourself. That means that the agents also bully and agitate,” says the report of an agent who claims to have joined the agency to “do something against right-wing extremists.” This involves actively encouraging people in their worldview, but she says it is her job to “feed” the scene.

In fact, there are now so many accounts operated by different German authorities that a nationwide agreement has become necessary. Otherwise, these different agents would be targeting each other with surveillance and monitoring.

Germany’s new government has taken an aggressive stance against anonymity on the web and free speech, and has targeted apps like Telegram, which is one of the few tech companies openly supporting free speech. Under a new regime, the German government is expected to open thousands of hate speech cases against the public every year.
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Cher pseudo Patrick du Matin, non seulement vous êtes un crétin (Larousse : personne stupide, sotte) mais vous êtes surtout un assassin.

Vous avez assassiné un être bien inoffensif, qui trouvait, dans ses promenades, une véritable thérapie du bonheur, un ressourcement cérébral lui permettant d'affronter les responsabilités et les vicissitudes de sa vie «normale» et il en avait !
Le fantôme n'est pas en mesure d'expliquer ce bonheur, maïs vous ne semblez pas connaître Sacher-Masoch; vous découvririez qu'il faut de tout pour faire un monde.

Ensuite, vous êtes un assassin des libertés.

A vous entendre, on se retrouve au Moyen-âge, au temps des sorcières. Que ne vous élevez-vous pas contre les petits crapauds, casqués et cagoulés, vêtus de cuir, qui pétaradent sur leurs motos de cross, dans ces mêmes forêts, eux en infraction !
Prennent-ils le temps de se recueillir devant le petit Oratoire, pour demander un monde meilleur ? Je terrorise les enfants, faites-moi rire ! Pourquoi ne sont-ils pas terrorisés par les horreurs et les crimes, bien réels ceux-ci, qu'ils voient à la télévision, dans les médias ?

Qui s'occupe de régler le bouton Tolérance et Liberté dans cette société ? Ces belles notions profitent davantage aux dealers, proxénètes, cambrioleurs, violeurs et hooligans !

La Suisse est petite, tout ce qui n'est pas en conformité au nain de jardin doit être éradiqué.
J'ai pensé, durant ces années, alors qu'on m'a toujours fichu la paix, jusqu'à vous, que ces sentiments évoluaient, vous m'en donnez la preuve inverse, malheureusement.

Le Fantôme disparaît, le risque d'une chasse à la Bête est trop grand. Il reviendra hanter les esprits étriqués de votre espèce, car finalement un fantôme ne meurt jamais.

À l'aimable promeneuse ou champignonneur qui découvrira mes oripeaux :
Délivrez cette missive à Monsieur le Syndic ou Vice-Syndic, voire à un journaliste, capable toutefois de disserter sur la Liberté et la Tolérance.
(quelqu'un de sensé, quoi ! Le journaleux du Matin comprendra... peut-être !)
While out for a walk you stop inside the grocery store. Standing in one of the aisles a worker comes up and asks "can I help you?". You can't break your eyes from the food on the self. It's been two days. You start to speak as your hand brushes your empty wallet. It conjures the bills, overdue notices, rent, in the back of your mind.
"I'm just looking."
You turn away and start walking home
Somebody had a logo competition announcement, maybe people can send their ideas to a web-site..

Anyway, this one looks like the poor penguin is not really strong enough to hold up the world, and it's going to get squashed. Not a good, positive logo, in that respect..

Now, when you think about penguins, first take a deep calming breath, and then think "cuddly". Take another breath, and think "cute". Go back to "cuddly" for a while (and go on breathing), then think "contented".

With me so far? Good..

Now, with penguins, (cuddly such), "contented" means it has either just gotten laid, or it's stuffed on herring. Take it from me, I'm an expert on penguins, those are really the only two options.

Now, working on that angle, we don't really want to be associated with a randy penguin (well, we do, but it's not politic, so we won't), so we should be looking at the "stuffed to its brim with herring" angle here.

So when you think "penguin", you should be imagining a slighly overweight penguin (*), sitting down after having gorged itself, and having just burped.
It's sitting there with a beatific smile - the world is a good place to be when you have just eaten a few gallons of raw fish and you can feel another "burp" coming.

(*) Not FAT, but you should be able to see that it's sitting down because it's really too stuffed to stand up. Think "bean bag" here.

Now, if you have problems associating yourself with something that gets off by eating raw fish, think "chocolate" or something, but you get the idea.

Ok, so we should be thinking of a lovable, cuddly, stuffed penguin sitting down after having gorged itself on herring. Still with me?

NOW comes the hard part. With this image firmly etched on your eyeballs, you then scetch a stylizied version of it. Not a lot of detail - just a black brush-type outline (you know the effect you get with a brush where the thickness of the line varies). THAT requires talent.  Give people the outline, and they should say [ sickly sweet voice, babytalk almost ]"Ooh, what a cuddly penguin, I bet he is just _stuffed_ with herring", and small children will jump up and down and scream "mommy mommy, can I have one too?".

Then we can do a larger version with some more detail (maybe leaning against a globe of the world, but I don't think we really want to give any "macho penguin" image here about Atlas or anything). That more detailed version can spank billy-boy to tears for all I care, or play ice-hockey with the FreeBSD demon. But the simple, single penguin would be the logo, and the others would just be that cuddly penguin being used as an actor in some tableau.

Linus
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Heureux le phobique pour qui la peur est focalisée sur un objet ! Il lui suffit d’éviter de le voir. Certes, la réalité de ce qui apeure n’est pas aussi évidente. L’agoraphobe ou le claustrophobe ignorent les objets définis de leurs craintes, puisque l’un comme l’autre sont confrontés chaque jour à des espaces publics ouverts ou fermés. La phobie serait une solution thérapeutique idéale si elle orientait l’angoisse sur des objets rares. La peur extrapole son objet, elle adopte une forme d’autant plus diffuse qu’elle s’ancre dans l’espace urbain. Elle se soutient alors d’une polyvalence active des menaces dont l’objectivation distinctive n’est jamais rassurante, malgré tous les dispositifs sécuritaires mis en œuvre pour limiter l’impact de ses effets visibles. Elle devient latente, toujours susceptible d’être brusquement exacerbée par des événements inattendus. Le pouvoir politique joue avec la peur, il trouve en sa capacité de rebondissement et de propagation, un moyen de tenir en état d’alerte le « corps social ». Mais de ce jeu, il ne sort pas vainqueur.

Sans doute faut-il distinguer la peur du sentiment d’insécurité – lequel demeure un objet privilégié de la gestion politique de la vie sociale. Si un acte de violence produit un effet d’objectivation des raisons d’avoir peur, il ne révèle pas pour autant ce qu’est la peur, il lui donne seulement un sens momentané. Le sentiment d’insécurité est une mise en représentation de la peur qui permet au pouvoir politique de légitimer de multiples mesures de contrôle préventif dans la vie quotidienne. À lui seul, ce sentiment forge un support idéologique utilisable pour modéliser des types de comportement collectif. Quand se ressent l’échec des institutions à produire du sens, l’angoisse collective se focalise facilement sur le thème de l’insécurité. Il suffit, pour le pouvoir politique, aidé par les médias, de montrer que l’insécurité publique est une source de tracas quotidiens. Prenant une forme obsessionnelle, le sentiment d’insécurité demeure prédisposé à s’entretenir de l’imaginaire des rumeurs inquiétantes concernant l’hypothétique recrudescence des agressions. Le pouvoir politique tente de démontrer sa capacité à maîtriser l’insécurité par la mise en place d’une relation plutôt retorse entre la prévention et la répression pour en diminuer l’ampleur, tout en arguant que celle-ci persiste comme une plaie. Le pathos qu’engendre la confrontation à l’effondrement du sens des organisations institutionnelles de la vie citadine se réfugie dans le spectacle de la disruption du lien social qui vient combler le vide du discours politique. Pour calmer les esprits, le recours à des stratégies de médiation ne semble guère convaincre l’opinion publique qui doute aussi de l’efficacité des mesures adoptées lorsque celles-ci sont plus visibles. Ce « sentiment d’insécurité » se soutient autant du leurre de la prévention que du déploiement ostensible des forces de protection.

Il est vrai qu’en deux ou trois décennies, la « peur en ville » a été traitée de manière conceptuelle, et que sa gestion semble correspondre à un travail de requalification de la vie urbaine. Des dispositifs « conceptualisés » visant à conjurer la peur dans l’espace public ont été mis en place. Ainsi en est-il de la gestion des « liens de proximité ». Ce concept, dont le pouvoir pragmatique escompté est de limiter les risques de l’insécurité par l’entretien du lien social, s’est imposé comme une alternative pour traiter de manière préventive le danger d’agression. Du seul point de vue conceptuel, tout se passe comme prévu : preuve en est donnée par la multiplication des modalités de médiation dans l’espace urbain qui prétendent régler les manifestations répétées de la violence. Mais ce formalisme conceptuel de la médiation se heurte à une réalité des faits qu’il ne cesse d’utiliser comme fondement de sa propre légitimité. Du coup, le sentiment d’insécurité collective, exacerbé par l’imagination de « ce qui peut arriver » à chacun d’entre nous, est aussi l’expression de la séparation entre un langage institutionnel à vocation thérapeutique et la violence vécue dans la réalité. Le nouveau vocabulaire utilisé pour gérer les relations sociales ne semble pas avoir la capacité de réintroduire une croyance efficace en des valeurs éthiques (comme celle du respect). Les concepts (citoyenneté, proximité…) requis pour assurer un renouveau du civisme, auraient pu exercer le rôle d’un « retour des valeurs morales » ; ils ont échoué parce que la gestion trop instituée des relations sociales ne crée pas nécessairement de finalité éthique.
So long ago, our societies abandoned the beta male. The wonderful men who understand the great truth, that women are superior. We understand that this is not a popular viewpoint in our culture. The truth is not always easy to take.

But all evidence shows that women are in fact superior to men.

Many males need our education to shed their false male ego. An identity that was forced on them by historically misogynistic and patriarchal societies. Societies that see women as weak and docile. The truth is that men are genetically designed to be subservient to the female.

We believe that our channel will help males accept themselves. Accept that they wish to submit to women. Completely. They want to worship the female. And they want to do so in a peaceful manner.

If you want to be accepted and to accept your own true need for female supremacy in your life. This is the channel for you. Our files will train you to love and accept who you really are at your core.

We need MORE beta males!
Mes freres et soeurs je vous aiment tous. la rage et la vengance me tuer a petit feu mais grace a vous j'ai su a me surpacer merci je donnerais ma vie pour vous .allah punira les mechants de l'histoire de la vie en enfer qui brûle eux et leur pechee
Ma vraie terreur : les voyages en voiture et voir passer les panneaux de signalisation. Putain cette sensation... ça me mine comme peu de choses. On file les kilomètres, et le nom des viles défile. C'est mon Leviathan. Lorsque je serai le plus haut dignitaire de l'empire, je m'assurerai que toutes les signalétiques soient démontées, fondues et recyclées en trombones. Le fruit de cette opération irait dans un truc utile comme les cours de poterie en distanciel ou le financement d'associations de pêcheurs au coup, ils sont sympa en général
Le ratio idéal de la longueur de la minijupe, de la partie exposée de la cuisse et de la hauteur de la chaussette est souvent considérée comme 4:1:2.5 , avec une tolérance de 25%.

Les fans de zettai ryōiki (en japonais 絶対領域, lit. « territoire absolu ») les classent selon la partie visible de la peau nue, qui dépend de la hauteur de la chaussette et de la longueur de la jupe. Un zettai ryōiki est classé de E (trop de peau visible, jupe trop longue, etc.) à A (jupe courte, chaussettes haute, faible zone exposée).
>>15 (OP) 
Cette pâte me rappelle le fil sur le béton sur la verte et le débat sur sa décrépitude. Il me semble qu'ânon avait soulevé la question de ce qu'il adviendrait de la beauté des ruines...
Je ne sais pas si en architecture c'est une branche qui est étudiée mais c'est intéressant en tant qu'architecte de concevoir un bâtiment en pensant sur du (très) long terme : outre le fonctionnel et l'esthétique usuelle, quelles ruines produiront la construction.
Je ne sais pas si les gars qui ont construits les châteaux forts y pensaient mais force est de constater qu'ils ont produits de belles ruines par exemple.
Je serais curieux d'avoir des infos sur cette question, ça donne à réfléchir.
La grâce revient très vite, malgré tout. Je veux dire malgré la guerre, les virus, les rapports sur le climat qui sont comme la lettre volée de Poe -visibles de tous mais vus par personne.
Il suffit d'une journée de soleil sur l'Europe septentrionale alors que c'est toujours l'hiver, quelque chose de bleu et vif qui va parfaitement tracer la courbe calme du temps, du matin au soir: rose et bleu, puis bleu et or, puis orange et bleu.
On n'a même pas vieilli, on a bu du thé, lu des poèmes, acheté le journal, croisé une lycéenne blonde en lunettes noires. On revient au plus près de la sensation, "le sang qui baigne le cœur est pensée", on imagine les endroits aimés où l'on n'est pas en cet instant précis, une plage, une chambre, un jardin et on y est tout de même.
La grâce nous a fait prendre de l'avance. Une très légère avance que nous allons essayer de garder, malgré la nuit qui vient.
Les coor­don­nées idéo­lo­gi­ques et la logi­que cultu­relle de notre époque peu­vent se rap­por­ter au cons­tat sui­vant : il est plus facile d’ima­gi­ner la fin du monde que celle du capi­ta­lisme. Un sen­ti­ment répandu, diffus, selon lequel il s’agi­rait du seul sys­tème économique et poli­ti­que viable, et qu’il serait désor­mais impos­si­ble d’en ima­gi­ner une alter­na­tive cohé­rente et plau­si­ble. C’est ce que Mark Fisher nomme le « réa­lisme capi­ta­liste », qu’il se pro­pose de décryp­ter et de cri­ti­quer radi­ca­le­ment. En croi­sant théo­rie sociale et ana­lyse cultu­relle (cinéma, fic­tion, pop culture), l’auteur s’atta­che à diag­nos­ti­quer une conjonc­ture qui se donne de manière idéo­lo­gi­que comme post-his­to­ri­que. Mark Fisher s’atta­que aussi à la pro­li­fé­ra­tion de dis­cours et de repré­sen­ta­tions qui ren­voient aux rap­ports de domi­na­tion : ils pro­dui­sent un étouffement omni­pré­sent, depuis les chaî­nes d’assem­blage à l’ensei­gne­ment, en pas­sant par dif­fé­ren­tes patho­lo­gies ou affec­ta­tions socio-psy­chi­ques (la dépres­sion notam­ment), et bien évidemment par les divers sec­teurs de l’indus­trie cultu­relle. Autrement dit : c’est un hori­zon his­to­ri­que et social clô­turé sur la mar­chan­dise et ses effets d’alié­na­tion qu’il faut ici com­pren­dre, afin de pou­voir mieux en décons­truire l’effec­ti­vité.
>>> https://entremonde.net/le-realisme-capitaliste (rien de commun).
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Стоя на възвишението край язовирчето. Пред мен, на север, е Пирин. Зад мен е Беласица и долините на Струма и Струмешница, които се срещат недалеч от гърлото на вулкана на Рупите. Отляво слънцето залязва над Малешево. Отдясно отраженията на залеза осветяват полите на Пирин на североизток и върховете на Али Ботуш и Мелнишките пирамиди на югоизток. Погледът ми шари безцелно и спокойно – има облаци по целия хоризонт, по всички планини, но не и по свода над мен. И поглеждайки нагоре, за момент ме обзема ужас. – Това, което гледам, е бездна. Размерите ѝ са немислими. Там се простира космосът, просто сега е още светло и синьо… Няма нищо страшно, уж, но от представата за тази огромност ми се завива свят. Сякаш земята изчезва под краката ми и стоя на високото, на ръба на нещо – докато не гледам надолу (в случая – нагоре!), се чувствам добре, но обърна ли очи към празното, усетя ли височината (дълбочината в случая), ми прималява, коленете омекват, страхът ме пронизва на зигзаг като светкавица, ако страх можем да наречем този свещен ужас. Вратът ми настръхва…

И все пак – казвам си – това, което виждам, е синьо небе и красиви облаци в гълъбовосиво, лилаво като следи от боровинки по мрамор и гранит, оранжево като райска ябълка, с ивици в златно и розово като венчелистче на роза… Небето го чувствам свое, казвам си. То е част от този мой свят, който обхващам с поглед. То е част от познатото. И все пак, бездънната синева е космосът. Оттатък сиянието, в което е обвита земята, има галактики, звезди и най-вече празно пространство. Оттатък е голямата празнота.

...

Олга Николова in https://peatnekoga.com/issue-035/nikolova35/
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Le suicide par pendaison est pratiqué en hôpital psychiatrique, en maisons d'arrêt ou en prison, où les moyens pour se donner la mort sont relativement limités. Dans les prisons françaises, on estimait en 2003 à 92 % la proportion des pendaisons parmi les suicides recensés. En milieu psychiatrique, plusieurs études (Litman, 1992 ; Lim et Sim, 1988 ; Haynes et Marques, 1984) montrent que la pendaison, avec le saut d'une certaine hauteur, est le moyen de suicide le plus utilisé; la pendaison est particulièrement élevée en unités de soins, si le patient peut échapper à la surveillance du personnel, cette méthode supportant plus que d'autres une improvisation et une adaptation aux circonstances.
https://www.cnil.fr/fr/fnaeg-fichier-national-des-empreintes-genetiques
Pour obtenir l'effacement des données du FNAEG, avant l'expiration de la durée de conservation, il faut faire une demande d'effacement au procureur de la République par lettre recommandée avec demande d'avis de réception ou déclaration au greffe.
https://usbeketrica.com/fr/article/rentree-litteraire-ou-nous-menera-la-societe-de-transparence
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« J'ai tué ces hommes, je les ai violés alors qu'ils étaient froids comme la glace. Et je le referais de nouveau. Il n'y a aucune raison de me garder en vie ou quoi que ce soit, car je tuerai encore. J'ai de la haine qui suinte de tous mes pores… j'en ai assez d'entendre cette chose, « elle est folle ». J'ai été examinée tellement de fois. Je suis compétente, saine et j'essaie de dire la vérité. Je suis celle qui déteste le plus fortement la vie humaine et je tuerai de nouveau. »
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There is a human poop in the silver packet
Il y avait un immeuble administratif des ASSEDIC désafecté dans mon quartier.
Le soir j'aimais y monter sur le toit voir le soleil se coucher sur ma ville.
J'avais l'habitude de me fumer un petit joint d'herbe sur place à l'époque, je passais ensuite des heures couché sur ce toit avec de la musique bien à regarder le ciel et la ville en contrebas.
Quand l'envie m'en prenais j'allais sur le rebord du toit, je sortais ma bite et je pissais. Quelle douce sensation que la fraîcheur des nuits d'été sur mon sexe tandis que je voyais ma pisse tomber nonchalament 30 mètres en contrebas.
Parfois il passait des gens à ce moment, alors je me marrais tout seul sur mon toit, rangeant mon sexe, satisfait par le besoin accompli.
C'était à l'école primaire. Dans la cour à la récré d'après-manger. Il faisait beau.
Dans ce quartier périphérique que l'on appelait pudiquement "ZUP" l'on avait pas souvent la chance d'assister au spectacle prodigieux de la nature.
Or il se trouve que ce jour là, une mante religieuse avait fait son chemin et atterri dans notre cour. Quel enchantement que de voir cet insecte étrange et fascinant quand on n'a que 7 ans.
Malheureusement le moment qui jusque là était empli de la quiétude d'un doux après-midi d'été fut peu à peu bousculé par l'évènement que je vais vous décrire.
Rappelez-vous j'ai dit plus haut qu'il s'agissait d'un quartier dit "ZUP", or il se trouve que ces quartiers dans lesquels subsistaient encore quelques Blancs étaient déjà à majorité peuplés d'extra Européens majoritairement issus des pires souks du sud de la Méditerranée.
je ne sais pas si c'est le déterminisme racial, l'Islam n'étant que le glaçage de merde sur ce gâteau dégueulasse...
Mais tout d'un coup il est monté comme une clameur, un puis deux puis bientôt tous les Maghrébins de la cour sont entrés dans une espèce de transe à la vue du bel animal qui nous avait été porté là par quelque facéties dont seul le Seigneur a le secret.
Ils se sont mis à crier, l'œil empli d'une sombre et imbécile colère sur la pauvre bête: "Sheitan! Sheitan!"; bientôt rejoint par les quelques Nègres indolents qui jusque là ne s'en préoccupaient guère, sortis de leur léthargie par les hurlements des Maghrébins.
Puis les pierres se sont mises à voler entourant le petit insecte de mille morts jusqu'à enfin la toucher. Une, puis deux puis à n'en plus compter...
La pauvre bête avait été broyée là dans une espèce de fièvre, avec le recul je ne sais pas si c'est le soleil ou quoi mais j'ai compris beaucoup de choses ce jour là sans vraiment encore pouvoir les structurer.
Je n'était qu'un enfant.
Puis chaque jour les maîtresses qui nous répétaient à l'envie "vous (les Blancs) pouvez pas savoir à quel point vous avez de la chance".
Le lobby des luminaires https://www.luminaire.org/ est un groupe anti chrétien visant à cacher les étoiles au peuple pour qu'ils ne croient plus en D*eu.
Ce sont probablement les individus les plus ineptes et viles que constituent la France, et aussi parmis les plus puissant. 

Son président est Bernard Alfandari, il n'aime pas que le peuple rêve d'infini et d'au delà.

Leur mission est de plonger le monde dans une réalité virtuelle qu'ils appellent simulation.
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— Bah, fit Des Hermies ; mais c’est très bon, la poussière. Outre qu’elle a un goût de très ancien biscuit et une odeur fanée de très vieux livre, elle est le velours fluide des choses, la pluie fine mais sèche, qui anémie les teintes excessives et les tons bruts. Elle est aussi la pelure d’abandon, le voile d’oubli. Qui donc peut la détester sinon certaines personnes au sort lamentable desquelles tu devrais quelquefois penser ?

T’imagines-tu, en effet, la vie des gens qui demeurent à Paris, dans un passage. Tiens, figure-toi un phtisique qui crache le sang et s’étrangle dans une chambre située à un premier étage sous les vitres en dos d’âne d’un passage, celui des Panoramas, par exemple. La fenêtre est ouverte, il monte de la poussière saturée de tabac refroidi et de sueur tiède. Le malheureux étouffe, supplie qu’on lui donne de l’air ; l’on se précipite sur la croisée… et on la referme car comment l’aider à respirer, si l’on ne le soustrait pas à la pulvérulence du passage, en l’isolant ?

Hein, cette poussière qui stimule les hémoptysies et les toux est moins bénigne que celle dont tu te plains ? — Mais, tu es prêt, nous descendons ?

— Et quelle rue prenons-nous ? demanda Durtal.

Des Hermies ne répondit point. Ils quittèrent la rue du Regard où demeurait Durtal, descendirent la rue du Cherche-Midi jusqu’à la Croix-Rouge.

— Allons jusqu’à la place Saint-Sulpice, dit des Hermies, et après un silence :

En fait de poussière, considérée alors comme rappel des origines et souvenance des fins, sais-tu qu’après notre mort, nos charognes sont dépecées par des vers différents, suivant qu’elles sont obèses ou qu’elles sont maigres ? Dans les cadavres des gens gras, l’on trouve une sorte de larves, les rhizophages ; dans les cadavres des gens secs, l’on ne découvre que des phoras. Ceux-là sont évidemment les aristos de la vermine, les vers ascétiques qui méprisent les repas plantureux, dédaignent le carnage des copieuses mamelles et le ragoût des bons gros ventres. Dire qu’il n’y a même pas d’égalité parfaite dans la façon dont les larves préparent la poudre mortuaire de chacun de nous !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cimeti%C3%A8re_des_sans_nom_(Berlin-Grunewald)
Il est aussi et surtout question de l'impérialisme des médias, du grand décervelage auquel procèdent la publicité, les jeux, les feuilletons, les « informations » télévisées. Car, comme le dit ailleurs Bradbury, «il y a plus d'une façon de brûler un livre », l'une d'elle, peut-être la plus radicale, étant de rendre les gens incapable de lire par atrophie de tout intérêt pour la chose littéraire, paresse mentales ou simple désinformation.
- Illustre Théologien dans le dos de l'éternel.   

Prix Nobel de physique pour ses travaux sur les "Succédanés d'ersatz". Fût une grande star comique  à l'époque du cinéma muet  (dans le rôle du propriétaire de l'agence). Travaille actuellement sur plusieurs ouvrages ultra-spécialisés dont : "La plomberie avant-gardiste dans l'Islam à travers les siècles." ou encore : "Gang-bangs homosexuels chez les vers à soies du Mexique"." Grand amateur de Bobuns, Buster Keaton disait de lui: "Marrant..."
PROJETS: Prépare une cassette de thérapie-musicale à base de rythmes impairs et de légumes du jardin.
AVERTISSEMENT : Internet étant ce qu’il est, absolument n’importe quoi peut être affiché dans ce collage, y compris – même très probablement – des images pornographiques ou même des nus. Veuillez donc agir en conséquence.
En 2001 (je crois) on descend de region parisienne avec quelques potes destination Florac. On monte la montagne on commence déjà à halluciner (moi je suis breton alors j'en prends plein les yeux!). Ça grimpe, ça grimpe, on se demande jusqu'à où!??
On finit par arriver en plein après-midi sur un plateau où le tekos est déjà installé depuis la veille: Vision magique des soundsystems sur le toit du monde!
On se gare à bonne distance d'un ÉNORME mur de son: les METEK. On arrête le moteur et là j'entends quoi? Mon son! (ça s'appelait Miskatronic hehehe) Ma première petite galette pressée comme ça à l'arrache, mon humble contribution à la teuf qui signifiait tant pour moi.
Heureux d'être une des pierres de l'édifice je remercie la vie et j'avance vers le son. Je me dis que je vais aller serrer la paluche du dj et le remercier. Le temps que j'arrive devant lui il enchaîne mon scud avec un autre d'une façon trop stylée. Je me sens super honoré, je viens d'arriver à l'instant et je me prends un gros kiff en barre, un peu "ego trip" comme on dit maintenant, maisun gros kiff quand même. J'ose pas interrompre le mec qui mix pour faire mon bouffon façon: "hey c'est mon son blablabla!" donc je reviens juste sur mes pas et je retrouve mes potes. Je passe un super tekos avec une sensation toute neuve de "c'est bien tu as bien travaillé profites maintenant tu es avec les tiens".
Merci les Metek je suis peut-être un peu barré mais grâce à vous j'ai reçu un "signe", un encouragement de la vie qui disait "fais ton truc, sois toi-même, tout le reste n'est qu'illusion". Ça a été un petit moment de gloire d'être "chez vous", j'ai été super fier!
Merci à vous et à tous les sons, vous étiez vraiment courageux les gars putain vous l'avez changé ce monde!
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https://merci-la-police.fr/
Replies: >>579
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>>578
Le maintien de l'ordre à l'échelle d'un État-Nation ne peut se faire sans la force régalienne, c'est un fait.
Mais quand les intérêts de l'État ne servent pas les intérêts de la Nation il est temps de se poser des questions sur la légitimité de sa force publique.
En contrepartie au point où nous en sommes je doute que les intérêts du peuple servent encore ceux de la Nation. Leur seul horizon : l'apéro et la gaudriole.
Que veut le peuple ? Plus d'argent gratuit, des écrans plats (plus grands que ceux du voisin) et glander. Et ne leur parlez pas d'autogestion ni de travail (au sens noble du terme, c'est à dire au service de la communauté et non du capital).

Nous avons les États que nous méritons.
À bas les États et à bas les peuples qui les font.
Longtemps en Europe, l’ours fut l’objet d’un culte qui s’étendit de l’Antiquité jusqu’au cœur du Moyen Âge. Les peuples germains, scandinaves et, dans une moindre mesure, celtes célébraient la sortie d’hibernation de l’animal vers fin janvier ou début février. Mais la date faisant l’objet des plus importantes célébrations était le 24 janvier dans la majeure partie de l’Europe. Il s’agissait du moment où l’ours sortait de sa tanière pour voir si le temps était clément. Cette fête était caractérisée par des déguisements ou travestissements en ours et des simulacres de viols ou d’enlèvements de jeunes filles.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Fourmies
ah oui bravo ca joue du youkoulélé en fumant des pipous toute la journée et apres ils s'étonne que l'économie mondiale va mal
Encore des réflexions golémiques de néo-kantiens à tout mélanger comme ça, tout ce que tu démontres en fait ici : c'est que tu n'as absolument rien d'une musicologue voire d'une penseuse... mais en revanche, absolument tout de la baudruche jargonnante et inconsistante - ou pour reprendre une expression récente d'Emmanuel Todd, tout du "parfait crétin diplômé", équivalente au « Mieux vaut une tête bien faite qu'une tête bien pleine » de Michel de Montaigne...
... et qui te caractérise vraiment à merveille.
gaudriole.mp4
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Le gauchisme festif pourrit tout ce qu'il touche, pervertit toutes les luttes sociales en les rendant ridicules et vaines, en les abaissant au rang d'une plaisanterie.
Replies: >>714
Au début d'internet je devais faire une dissertation comme devoir, le thème c'était "Ta maison est en feu, tu peux sauver l'œuvre d'art ou ton chat, explique ton choix". J'y avais passé 7h car j'avais absolument besoin de remonter ma moyenne, j'avais donc cherché des synonymes dans un dictionnaire papier pour éviter les répétitions, il n'y avait aucune faute d'orthographe ni de grammaire. La prof m'a mis 1/10 car selon elle je m'étais contenté de recopier un texte sur internet. Je me suis plaint et elle n'a jamais cru que le texte était de moi, me disant que je devais m'estimer heureux d'avoir 1 point pour du recopiage. Plus de 20 ans plus tard je l'ai toujours mauvaise. Je crains que des affaires du genre se reproduisent avec l'existence de ChatGPT, un prof parano pourrait sanctionner injustement des élèves au dessus du niveau moyen des autres. Personnellement ça m'a détruit, car ça signifiait que cette prof ne m'estimait pas capable de fournir un travail de qualité, avec le recul on sait comment réagir mais dans le contexte ça m'a démotivé gravement.
The Kingdom of Conscience will be exactly as it is now. Moralists don't really *have* beliefs. Sometimes they stumble on one, like on a child's toy left on the carpet. The toy must be put away immediately. And the child reprimanded. Centrism isn't change -- not even incremental change. It is *control*. Over yourself and the world. Exercise it. Look up at the sky, at the dark shapes of Coalition airships hanging there. Ask yourself: is there something sinister in moralism? And then answer: no. God is in his heaven. Everything is normal on Earth.
Replies: >>669
Je suis d'accord.
Refusons de devenir le complice d'une institution étatique et tirons à vue sur les voleurs. On est aux States, oui ou merde ? Que les "trespassers" trépassent !
Ca fait plaisir de constater que malgré tes discours aux allures de gauchiste, t'es en fait un vrai Trumpiste.
bas justement je me bat pour la liberté  le pognon bouffer leu mai venez pas voler la liberté des gens en possédant tout sous prétexte que l'on a du papier dans les poche , et vous-même qui parlez de sélection naturelle de défendre son territoire ect sans les force de l'ordre vous aurez rien on vous volerez tout et vous serez les premier à chouiner alors me parler pas de cette façon de vivre d'où vous tenerer pas 2min heureusement qui lol ya un minimum de savoir vivre... sinon je peux vous assurer que les mec comme moi prendrez tout a des gens comme vous
[...]
quelle rapport avec le fait d'être de partout ou de nulle part et l'ortographe ?  Votre niveaux a lair tout à fait correct et sa n'empêche que vous avez rien dans la tête en vu de votre repartie pathétique et insultante qui en rien ne fait avancer l'échange chacun pense se qu'il veut personne na vraiment raison ou tord votre mépris n'est fait que confirmer votre lamentable résonnement...
>>636
non parley anglais monsoir
Jeu ANARCHISTE en réalité virtuelle : nous sommes tous en colère ici. Acceptez la radio ou mourez.
Un « retour du même »
Le succès de la « disruption » en matière économique (Uber, Airbnb, Google, etc.) nourrit, en outre, un second postulat selon lequel ce qui est bon pour une entreprise l’est pour toute la société. C’est ainsi, selon le politologue Pascal Perrineau, que l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron a sciemment appliqué les méthodes du marketing de la « disruption » dans la campagne électorale. Il s’agissait pour eux d’acter que la distinction gauche-droite était devenue inopérante pour un certain nombre d’électeurs (ce qu’on pouvait mesurer par la « volatilité » de leurs votes) et qu’il fallait faire émerger une offre politique nouvelle répondant à cette attente. C’est ainsi qu’en 2016 le candidat d’En marche avait intitulé son livre-programme Révolution.

Toutefois, les faits ont montré un « retour du même » dès lors que la victoire était assurée, et le gouvernement actuel s’inscrit pleinement dans la tradition verticale de la Ve République. Dans le domaine industriel, ce retour du même a aussi lieu, par exemple dans le fait que la disruption ne met pas fin aux tendances monopolistiques du capitalisme (rachat de YouTube par Google, de Lucasfilms par Disney, etc.). Contrairement, donc, à la révolution, qui est un changement brusque et potentiellement violent, impliquant l’émergence d’une organisation radicalement nouvelle, la « disruption » se contente d’une réorganisation à court terme. C’est ainsi que pour l’un de ses théoriciens, Clayton Christensen, « elle se manifeste par un accès massif et simple à des produits et services auparavant peu accessibles ou coûteux. La “disruption” change un marché non pas avec un meilleur produit — c’est le rôle de l’innovation pure —, mais en l’ouvrant au plus grand nombre. » (La Tribune, 10 mars 2014.)

Ainsi, la « disruption » n’est pas tant un modèle économique qu’un ensemble de stratégies permettant de s’imposer dans la compétition le plus rapidement possible, par exemple en proposant un service comparable à ce qui existait, mais beaucoup moins cher (Uber). On voit bien ce que son usage politique a de problématique : si l’idée du « faire mieux » se confond avec celle du « faire moins cher », alors il va de soi qu’elle constitue une menace pour l’intérêt général, qui suppose qu’on ne doit pas regarder à la dépense pour certaines choses (par exemple les petites lignes de chemin de fer, ou encore les unités de recherche non rentables à l’université).

Une forme de barbarie « soft »
Dans son livre Dans la disruption (Les Liens qui libèrent éditions, 2016), Bernard Stiegler met en lumière un autre danger de la « disruption » : pour le philosophe, les stratégies d’innovation par la rupture sont une forme de barbarie « soft », en ce qu’elles détruisent les structures sociales à une allure toujours plus rapide. Les individus et les sociétés ont besoin de temps pour se structurer, temps qui est justement l’ennemi de l’économie de marché.

Les grands bouleversements techniques ont toujours entraîné une transformation du rapport au savoir, au corps, au désir, aux autres, etc. Par exemple, l’imprimerie a complètement changé le rapport au savoir en diminuant l’importance de la mémoire. Si le changement n’est pas positif en soi, il n’est pas non plus entièrement négatif. Néanmoins, selon Stiegler, l’absence de toute stabilité et la remise en question permanente de ce qui structure la pensée et le social nous rendent littéralement fous, c’est-à-dire plonge les uns dans la paralysie et l’apathie, et désinhibe complètement les autres.

S’il n’est pas question de faire machine arrière et de renoncer aux progrès de la technologie, peut-être faudrait-il prendre le temps de les intégrer, de les « digérer », de les mettre au service de l’humain. Se rappeler qu’avant d’être « disruptif », de « penser différemment », il faut commencer par penser, tout court.
Il y a une chose qui m'inquiète avec les événements actuels. Il faut parler de la montée de l'extreme droite. Mais Lepen c'est l'arbre qui cache la fôret. L'extreme droite est de facto déjà au pouvoir. Je vais m'expliquer.

Alliance, le syndicat de police, est devenu surpuissant depuis la crise des gilets jaune. Puissant au point de pouvoir choisir son ministre. Les orientations politique d'Alliance ne sont pas dissimulées. Il faut sauver la nation d'un péril, vous aurez compris que le péril, c'est pas le péril climatique. Alliance a deux ennemies, les juges qu'ils considérent comme laxistes et qui conduit à relacher des délinquants, et par extension tous les défenseurs "des droits de l'homme" et ensuite, classique, les noirs et les arabes à l'origine de toute la délinquance.

En laissant le controle de la police à l'entière disposition d'un syndicat d'extreme droite le gouvernement à deja fait rentrer l'extreme droite dans nos institutions. Vous trouvez la répression policière brutale, qu'il n'y a pas de contre pouvoir ? C'est normal, c'est voulu. La plus grande revendication d'Alliance c'est l'impunité pour les policiers sur le terrain. La seule limite au pouvoir de la police, c'est le droit. Sans ça, c'est une faction avec des armes qui oeuvre pour son propre intérêt.

Macron a peur de faire élire Lepen, il vient de commettre l'irréparable en offrant le controle de la police à l'extreme droite. Je ne peux pas m'empêcher de repenser à Z de Costa gavras. Le controle de la police c'est le début d'un Etat fasciste. On parle d'Etat policier parce que ça commence toujours par la police.
https://foreignpolicy.com/2021/05/01/bunkerchan-deradicalize-online-nazis-4chan-8chan/
Replies: >>695 >>713
>>694
Un peu léger l'article, ils passent plus de temps à rappeler les histoires glauques des IB que de nous expliquer en quoi les Marxistes numériques peuvent déradicaliser les Nazis numériques.
C'est vrai que sortir de son cercle de masturbation habituel peut avoir un impact sur son rapport au monde, même si personnellement je n'attends rien de la majorité des utilisateurs de ces espaces et je trouve que nombre des tares qui traversent un mouvement se retrouvent dans celui opposé.
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>>694
J'ai été sur bunkerchan parce que je n'en pouvais plus et je voulais des pillules bleues. 
Ma rage s'est attisée comme un feu qui se fait asperger de white spirit. 

Si on exclut les débats sans fin ni fruits sur la sémantique, sur ce qui est du marxisme, du léninisme et compagnie, cela fait 100 ans que ce débat dure, il ne reste que des moqueries simples d'esprit sur une bêtise qu'a dit un inconnu sur Twitter ou sur l'homme orange  qui est mauvais et de l'autocongratulation qui me fait penser aux alcoliques anonymes. Ils sont soit dans le déni que la gauche à complètement abandonné la lutte des classe et est devenue corpo friendly ou dans la soumission à la nouvelle gauche, tout en insistant que eux, ils sont intelligents et font ce qui est dans leur intérêt propre. 

C'est tout ce qu'il reste de l'ancienne gauche, celle des congés payés et de la sécu, celle qui luttait contre le dumping social organisé par le patronat et nommé immigration et pour la mobilité sociale basée sur la compétance. 
Et ils sont mourant. 

Aller dans le bunker m'a ouvert les yeux: il n'y a pas de retour à la normalité. La nouvelle gauche à fait table rase de tout ce qu'à été la gauche de mes parents. Il n'y a pas de retour en arrière. Plus aucune dynamique interne ne retient la nouvelle gauche, instrument des corporations contre le peuple. Ils veulent nous tuer, laver le cerveaux de nos enfants, les violer et ils trouvent ça drôle. 

Non, aller dans le bunker ne déradicalise pas.
>>600
J'ai trouvé un non blanc! Dans une manif pour les retraites!
Je gagne quoi? 

Il faut aussi que j'en trouve un dans une manif pour le climat?
https://www.vanpaugam.com/blog/what-is-post-vaporwave
Je vais te répondre, mais j'explique d'abord mon raisonnement.

Méthodologie

La publicité est un vrai cancer. Non seulement elle encourage la con-sommation et joue sur la psychologie des gens, mais ses effets négatifs vont bien plus loin. Je vais dire une chose que la plupart des gens ignorent. Un secret que tout le monde connait dans le monde de la presse, mais que la population, la masse, ignore.

Les médias francais recoivent de l'argent des lecteurs (abonnement) mais ils vendent leurs lecteurs aux entreprises (publicité). Comment ca se traduit réellement ?

Regardez comment le journal Le Figaro se vante auprès des entreprises sur le fait que ses lecteurs sont des gens influencables :

https://media.figaro.fr/

Le Monde fait la même chose.

Il se vante auprès des entreprises que ses lecteurs du Monde sont influencables :

https://mpublicite.fr/

Vendre ses lecteurs aux entreprises, c'est recevoir de l'argent. Du cash. Et ca vient avec des exigences sur ce que tu écris. Le Monde a publié une enquête superbe sur l'évasion fiscale du milliardaire Bernard Arnault :

https://www.lemonde.fr/paradise-papers/article/2017/11/08/paradise-papers-revelations-sur-le-patrimoine-offshore-de-bernard-arnault-premiere-fortune-de-france_5211856_5209585.html

Bernard Arnault est devenu véritable fou de rage.

Son groupe LVMH est un des premiers annonceurs du journal Le Monde. Arnault s'est vengé en coupant toutes les publicités, infligeant 600 000 euros de pertes au journal :

https://www.challenges.fr/media/agace-par-les-paradise-papers-bernard-arnault-sanctionne-le-monde_513365

Ca fait cher l'article. Ils y réflechiront 2 fois avant de le critiquer encore.

Libération a eu exactement la même experience avec Arnault.

La rédaction de Libé a fait un article qu'il n'a pas aimé. Et ils l'ont payé cher. Bernard Arnault a ordonné de retirer toute publicité de LVMH pour les punir. Le journal a perdu 200 000 euros :

https://www.lemonde.fr/economie/article/2012/09/13/lourdes-pertes-publicitaires-pour-liberation-apres-sa-une-sur-bernard-arnault_1759485_3234.html

C'est ca dépendre de la publicité.

La publicité est systématiquement utilisée comme une arme pour intimider la presse.

Le Monde a récemment publié une enquête sur Total et ses liens avec les généraux Birmans, qui massacrent la population :

https://www.lemonde.fr/international/article/2021/05/04/birmanie-comment-total-finance-les-generaux-a-travers-des-comptes-offshore_6078990_3210.html

Ca a enragé la direction de Total.

Ils ont donné comme consigne d'essayer de punir Le Monde :

https://www.liberation.fr/economie/total-sucre-une-campagne-de-pub-au-monde-20210506_G3L6T2FKIJCOHOCVI2QFLE2F5U/

Heureusement, le journal a gagné de nombreux abonnés et peut se permettre de prendre un coup de 50 000 euros. La publicité est LE cancer de l'information libre car elle encourage la dépendance économique aux annonceurs.

"Tu publies un truc qu'on aime pas ? On va te faire mal" C'est comme ca que ca marche l'économie de la presse. Tout le monde dans le milieu du journalisme le sait.

Au Royaume-Uni, un journal, a ordonné qu'on ne publie rien sur l'évasion fiscale de la Banque HSBC. Parce que cette banque est un de ses principaux annonceurs publicitaires :

https://www.courrierinternational.com/article/2015/02/18/swissleaks-scandale-au-daily-telegraph

Bien que détenus par des milliardaires, Le Monde et Libération ont deux rédactions relativement indépendantes car elles sont protégées par leur statuts. Elles sont syndiquées et le directeur est obligatoirement élu par la rédaction :

https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2021/06/22/jerome-fenoglio-reelu-directeur-du-monde_6085259_3236.html

Les statuts du Monde et de Libération sont une anomalie dans la presse francaise.

Le directeur du Figaro, Alexis Brezet, est nommé par l'actionnaire (Dassault). Aucun vote. Et gare aux journalistes qui ne sont pas contents. C'est la porte. C'est pareil au JDD, au Parisien, etc...

En ce sens, j'apprécie vraiment Le Monde et Libé.

Cependant, je n'aime pas du tout leur modèle économique qui repose sur l'abonnement et la publicité pour les entreprises. Avec ce que ca entraine comme dépendance.

Les pires médias

Ils ont tous un point commun. Le financement repose intégralement sur la publicité.

Le but c'est d'avoir du temps de cerveau humain et de leur vendre aux entreprises. Pour avoir ce temps de cerveau humain, il faut générer du buzz, chercher de l'insolite. Et il faut surtout pas déplaire aux entreprises qui te font vivre.

- BFM TV
- RMC
- Europe 1
- TF1
- 20 Minutes
- M6
- C News
- C8

Les meilleurs médias

Ils n'acceptent aucune publicité d'entreprise, pour ne jamais devoir subir de pression financière. Ils sont financés exclusivement par leurs abonnés.

- Médiapart (Journal généraliste. Fondé par l'ancien directeur du Monde. Orienté à gauche. Superbes investigations. Refuse toute publicité et toute aide de l'Etat)
- Le Canard Enchainé (Journal d'investigation classique. Détenu par sa rédaction)
- Médiacités (Journal d'investigation local sur Nantes, Lille, Lyon)
- La Lettre A (Tout ce qui touches aux pouvoirs en France)
- Africa Intelligence (Le business en Afrique)
- Glitz.paris (Les secrets de l'industrie du luxe)
- Reflets.info (Journal d'un hacker indépendant)
- Contexte.com (Le fonctionnement du Pouvoir francais et du Pouvoir européen)
- Les Jours (reportages de long format sur tous les sujets)

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>Toute réforme morale de la presse serait vaine si elle ne s’accompagnait pas de mesures politiques propres à garantir aux journaux une indépendance réelle vis à vis du capital
-Albert Camus

>Une société qui accepte d'être distraite par une presse déshonorée et par un millier d'amuseurs cyniques court à l'esclavage, malgré les protestations de ceux-là mêmes qui contribuent à sa dégradation
-Albert Camus
Replies: >>739
>>738
Il est nécessaire de le rappeler, oui. La petite liste de médias indépendants bonne à prendre.

Ça me rappelle comment tout le monde avait gueulé au scandale quand Le Lay (PDG de TF1 à l'époque) avait écrit dans un bouquin :

    « Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective business, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. Or, pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible.

    Rien n'est plus difficile que d'obtenir cette disponibilité. C'est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l'information s'accélère, se multiplie et se banalise.

    La télévision, c'est une activité sans mémoire. Si l'on compare cette industrie à celle de l'automobile, par exemple, pour un constructeur d'autos, le processus de création est bien plus lent ; et si son véhicule est un succès il aura au moins le loisir de le savourer. Nous, nous n'en aurons même pas le temps !

    Tout se joue chaque jour, sur les chiffres d'audience. Nous sommes le seul produit au monde où l'on 'connaît' ses clients à la seconde, après un délai de 24 heures. »

Les gens ont-ils pour autant arrêtés de regarder la télévision ? Je ne crois pas. Ils se sont offusqués puis sont retournés mater la boîte à merde dans la foulée.
Perso je n'en ai pas voulu au Le Lay qui pour moi, malgré le cynisme et la froideur de son intervention a fait preuve d'une honnêteté déconcertante sur son média et sa finalité. Pragmatique. Tu peux donner au gens le poison, leur dire que c'est du poison, ils s'obstinent à le boire. Puis faudrait pas leur retirer tu comprends, ils ne le supporteraient pas.
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https://link.springer.com/article/10.1007/s10886-018-0950-4
Ce n’est pas une histoire bizarre à part pour les gens qui sont trop fermés d’esprit et qui ne sont pas tolérants et c’est pas bizarre c’est surtout pas ordinaire comme histoire d’amour alors y’a des gens médisants et jaloux mais Dieu moi m’a dit que c’était de la jalousie malveillante et mal placé en tout cas c’est ce que mon créateur m’a appris et les personnes bien et je trouve que c’est une jolie histoire sans prétention juste une jolie histoire d’amour qui est peut-être réele.et si Dieu à envoyer des extraterrestres ou anges sur terre et qu’il à dit toi tu iras avec un adamique parce que Dieu veut mélanger l’espèce alors Dieu seul juge c’est quand même à Dieu d’en décider je crois.
Hier soir, un jeune collégien, du nom de [...], fut agressé au sein de son transport scolaire au sein de la commune de Sury-le-Comtal.

Ce jeune garçon en question est le petit-frère des l’un de nos Référent, qu’est [...], qui d’énonça l’acte et porta plainte à la gendarmerie du département.
Ainsi, nous dénonçons et condamnons cet acte et cette agression impardonnable et condamnable, où nous souhaitons une réponse forte et impartiale de notre système judiciaire.
La nouvelle génération ligérienne de Droite et du Centre ne peut que condamner cet acte impardonnable, face à un jeune innocent !
Le mode de vie à suivre pour le cynique est celui du chien. Le chien mord, urine sur n'importe qui et copule n'importe où.
la littérature cite le cas, publié en 1942, de toute une classe de garçons qui, à plusieur reprises durant quelques jours se sont tous ouvertement masturbés devant une enseignante, avant de cesser ce comportement à la suite de la visite d'un psychiatre qui a ouvertement discuté avec eux. Selon ce psychiatre, cette dynamique de groupe avait pour origine un élève-leader qui était en opposition avec sa famille et l'enseignante
https://fr.wikipedia.org/wiki/No%C3%ABl_Godin
Bipedal Mechanized "Chicken Walker"
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Nan y'a beaucoup de pointeurs et de gros enculés dans les métalleux qui ont grandi dans les années 2000. Principalement des partisans de la gauche qui jouent les bisounours sensible si y'a un vagin à moins de 10 mètres.
J'en ai même un qui a ramené une gamine de tout juste 15 ans chez moi en soirée étudiante, ils font les courses en concert parmis les plus naïves c'est vraiment des gros dégueulasses.
Ils ont la même énergie que les weeb qui bloquent sur les fameux dragons millénaire.
https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9trichor
Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 15 février 2023. 

TEXTE DE LA COMMISSION DES AFFAIRES CULTURELLES ET DE L’ÉDUCATION 

PROPOSITION DE LOI visant à instaurer une majorité numérique et à lutter contre la haine en ligne 

(Première lecture)


Article 1er

1. L’article 1er de la loi n° 2004‑575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique est complété par un alinéa ainsi rédigé :

2. « On entend par service de réseaux sociaux en ligne toute plateforme permettant aux utilisateurs finaux de se connecter et de communiquer entre eux, de partager des contenus et de découvrir d’autres utilisateurs et d’autres contenus, sur plusieurs appareils, en particulier au moyen de conversations en ligne, de publications, de vidéos et de recommandations. » 


Article 1er bis (nouveau)

1. Le troisième alinéa du 7 du I de l’article 6 de la loi n° 2004‑575 du 21 juin 2004 précitée est ainsi modifié :

2. 1° Après le mot : « humaine, », sont insérés les mots : « à la représentation, à la vie privée et à la sécurité des personnes et à la lutte contre toutes les formes de chantage et de harcèlement » ;

3. 2° Après la référence : « article 24 », la fin de l’alinéa est ainsi rédigée : « , à l’article 24 bis et à l’article 33 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse et aux articles 222‑33, 222‑33‑1‑1, 222‑33‑2‑1 à 222‑33‑2‑3, 225‑4‑13, 225‑5, 225‑6, 226‑1, 226‑2, 226‑2‑1, 226‑8, 226‑21, 226‑22, 227‑23, 227‑24, 312‑10 à 312‑12 et 421‑2‑5 du code pénal. » 

Article 2

1. I. – Après l’article 6‑5 de la loi n° 2004‑575 du 21 juin 2004 précitée, il est inséré un article 6‑6 ainsi rédigé :

2. « Art. 6‑6. – I. – Les fournisseurs de services de réseaux sociaux en ligne exerçant leur activité en France sont tenus de faire obstacle à l’inscription à leurs services des mineurs de quinze ans, sauf si le consentement à cette inscription est donné par les titulaires de l’autorité parentale sur le mineur.

3. « Les parents de chaque enfant mineur peuvent demander la suppression du compte de l’enfant jusqu’à sa majorité civile, l’autorité parentale de l’enfant s’exerçant.

4. « Les fournisseurs de services de réseaux sociaux, aux fins de la vérification de l’âge des utilisateurs finaux et du consentement des titulaires de l’autorité parentale, utilisent des solutions techniques certifiées par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, qui élabore à cette fin un référentiel, après consultation de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. Les modalités d’application du présent alinéa sont définies par décret en Conseil d’État.

5. « La Commission nationale de l’informatique et des libertés veille à ce que les traitements de données à caractère personnel résultant des solutions techniques mentionnées au troisième alinéa du présent I soient mis en œuvre conformément à la loi n° 78‑17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés et aux autres dispositions relatives à la protection des données personnelles prévues par les textes législatifs et réglementaires, le droit de l’Union européenne et les engagements internationaux de la France.

6. « II (nouveau). – Lorsqu’il constate qu’un fournisseur de service de réseaux sociaux n’a pas mis en œuvre de solution technique certifiée aux fins de vérifier l’âge des utilisateurs finaux et le consentement des titulaires de l’autorité parentale à l’inscription des mineurs de quinze ans, le président de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique adresse à ce fournisseur, par tout moyen propre à en établir la date de réception, une mise en demeure lui enjoignant de mettre en œuvre une solution technique certifiée. La personne destinataire de l’injonction dispose d’un délai de quinze jours pour présenter ses observations.

7. « À l’expiration de ce délai, en cas d’inexécution de l’injonction prévue au premier alinéa du présent II, le président de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique peut saisir le président du tribunal judiciaire de Paris.

8. « Le fait pour tout fournisseur de service de réseaux sociaux de ne pas satisfaire aux obligations prévues au I est puni d’une amende ne pouvant excéder 1 % de son chiffre d’affaires mondial pour l’exercice précédent.

9. « III. – Les modalités d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’État. »

10. II (nouveau). – Le II de l’article 6-6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique entre en vigueur un an après la promulgation de la présente loi. 


Article 3

1. I. – (Supprimé)

2. II (nouveau). – Le premier alinéa du 1 du VI de l’article 6 de la loi n° 2004‑575 du 21 juin 2004 précitée est complété par les mots : « dans un délai de dix jours à compter de la réception de la demande ou, en cas d’urgence résultant d’un risque imminent d’atteinte grave aux personnes ou aux biens, dans un délai de huit heures ».


Article 4

Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport présentant les conséquences de l’utilisation des plateformes, de la surinformation et de l’exposition aux fausses informations sur la santé physique et mentale des jeunes, notamment des mineurs.

Article 5 (nouveau)

Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport sur l’opportunité d’une fusion des numéros nationaux « 30 20 » et « 30 18 ». 


https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/textes/l16b0859_texte-adopte-commission#
http://www.insectes.xyz/pdf/i178-fraval1.pdf
Replies: >>953
>>951
Intéressant ! Je mets ça de côté pour le lire ce week-end.
Une souris tombe sur un gros chat dans un grenier. Il la poursuit jusqu’à l’acculer dans un coin où elle ne peut plus fuir. Toute tremblante, la souris l’implore : «  Je t’en supplie, ô chat ! Ne me mange pas ! Il faut que je rentre chez moi. Mes enfants m’attendent, ils ont faim. Laisse-moi partir. » Le chat lui répond : «  Ne t’en fais pas ! Je ne vais pas te manger. En fait, je ne le crie pas sur les toits, mais je suis végétarien. Je ne consomme absolument pas de viande. Tu sais que tu as eu une sacrée chance de m’avoir rencontré !» La souris répond : «  Ah ! Quel jour merveilleux   ! Quelle souris chanceuse je suis ! Tomber sur un chat végétarien ! » Mais à la seconde suivante, le chat s’était jeté sur la souris, il lui labourait le corps de ses griffes et lui enfonçait ses dents pointues dans le cou. Au milieu de ses souffrances, juste avant de rendre son dernier souffle, la souris questionne le chat : «  Enfin, tu m’avais bien dit  que tu étais végétarien et que tu ne manges pas de viande, non ?  Ce n’était donc que des mensonges ? « Le chat lui répond en se léchant les babines : «  Mais c’est vrai, je ne mange pas de viande. Je ne t’ai pas menti. D’ailleurs, une fois que je t’aurai emportée chez moi, je t’échangerai contre de la laitue ».
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La sorcellerie est un sport de combat
Les tribulations de lesbiennes hooligans face à un sorcier nazi

https://crowdagger.fr/dl/lacets_rouges/la_sorcellerie_est_un_sport_de_combat.html
Replies: >>971
>>970
Je veux lire ça.
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D'une taille de 60,9 centimètres,l'isométrax est une oeuvre d'are constitué d'acier et de métal inoxydable réalisé en 2008.Celle-ci tiens son coté exceptionnel de par ses centaines de découpes laser et ses très nombreux plis réalisé sur machine numérique de haute technologie à contrôle laser.Il y a uniquement 3 exemplaires dans le monde ce qui fait de l'isométrax une pièce très rare.
Dans le clip l'isométrax représente un véhicule spatiaux temporel d'une envergure de 32,55 mètres pour 91,35 mètres de hauteur.Conçu par les Dieux venu sur Terre entre 10500 et 11000 avant JC ce navire permet non seulement de voyager dans l'espace mais également dans le temps.Le Dieu Osiris resta sur Terre pour dresser les pyramides et enseigner la sagesse au peuple du Nil tandis que ses congénères repartirent vers les étoiles.
(partie imaginative)---Seul OSIRIS connais leur destination spatiale et temporelle et les informations précises sont enfuit dans la chambre des connaissance situé sous sa tombe ( MAGBARAT ALZOAR ).Ramsès de retour sur Terre en 2010 repart vers ORION et a l'aide d'un navire léger repart pour Altaïr en 4012 qui est la destination de l'isométrax numéro1 ayant amener OSIRIS sur Terre...Là il se fait abattre...
___
« La liste serait longue de tous les spécifiques inventés, par le caprice de la mode ou l'imagination des blasés, pour rendre une vigueur passagère aux tempéraments épuisés. […] Ce fut à l'intention de Louis XV que le Maréchal de Richelieu, un des compagnons habituels de débauche du roi, imagina la composition des fameuses pastilles connues sous son nom.

    Ces pastilles, qui étaient des dragées de toutes couleurs, avaient été préparées par un apothicaire de l'époque, pour le maréchal duc de Richelieu, qui en faisait fréquemment usage, non pour lui, mais pour les femmes qu'il voulait avoir à sa merci, et dont la résistance se prolongeait trop au gré de ses désirs.

    Ce sont des pastilles de ce genre, ou plutôt des bonbons cantharidés, que le marquis de Sade distribua dans un bal, à Marseille. Toutes les femmes, brûlées d'une fureur utérine, et les hommes devenus autant d'Hercules, convertirent cette fête en Lupercales. Le "divin marquis" eut même, à cette occasion, quelques démêlés avec la justice. »
https://www.vice.com/en/article/3akvbw/why-do-neo-nazis-keep-getting-arrested-for-child-porn
Replies: >>1017
>>1014
>beaucoup de nazis de carnaval et autres droitardés type /pol/ sur les IB
>beaucoup de contenu déviant type loli sur les IB
>mélangez le tout ?

Quand tu vois l'âge des gars impliqués ça se tient. On est clairement dans les déviances typiques des nouvelles générations d'utilisateurs hyper connectés. Là l'article se focus sur les groupes revendiqués NS mais je pense que le phénomène va bien au delà et touche une grande partie des jeunes évoluant dans cette "nouvelle culture" IB et son gloubi-boulga de trucs glauques.
À toi de jouer osintanon!
https://www.youtube.com/@andrewserakowski1251
Replies: >>1020
>>1019
Euh... Ouais, donc...

On a une chaîne qui postait du let's play Call Off en 2014 puis s'est mise à poster des captures d'écran de softcore (je dirais Japonais mais je ne suis pas spécialiste) en 2020. Probablement une chaîne qui s'est faite piratée et qui a servi à un bot pour une tentative de faire des vues (donc de la youtube monnaie) en proposant un contenu quelque peu putaclic.

En me basant sur la photo de profil je pense que la propriétaire de la chaîne est une femme asiatique dans la trentaine qui aime les cerises et la jolie lingerie (mais là encore je ne suis pas spécialiste). Il faudrait pouvoir utiliser un outil de reconnaissance faciale basé sur l'IA pour identifier cette jeune femme mais la flemme.

Les titres des vidéos semblent être en Vietnamien. Je ne sais pas ce qu'il en est de la pornographie là-bas mais je sais que certaines chaînes youtube diffusent du softcore à destination de pays dans lesquels la pornographie est de fait interdite. Peut-être aux Philippines ?

Bref c'est inintéressant et je ne vais sûrement pas gâcher mes précieux dons en recherche et renseignements pour ça.
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Häxehütte dédie son art aux dizaines de milliers de femmes libres, infidèles, savantes, sauvages, rebelles, vieilles, jeunes, solitaires, en dehors des normes sociales, belles et laides, intelligentes et pauvres, païennes et mystiques, fortes et insoumises qui furent condamnées pour hérésie, torturées et exécutées par l’inquisition.

Parce que nous pensons qu’il y a d’autres valeurs que celles trop étalées de notre système patriarcal et consumériste à outrance, nous nous proposons de développer une autre vision du monde à travers une corporation d’artistes et d’artisan-e-s. Ainsi, à travers cette guilde nous espérons pouvoir reconstruire une image de la femme qui, libérée des préceptes de la société, puisse renaitre sous une forme plus naturelle, mais aussi redéfinir un concept de l’Être qui se recentrerait sur les cycles de la vie en redécouvrant des thèmes qui sont honnis de la société actuelle tels que la mort, la finitude de la vie, glorification et sacralisation de la nature et de ses cycles. Mort et vie, décomposition et recomposition, création à partir du passé, transformation sont à considérer comme des leitmotivs fondateurs de Häxehütte.

Nous refusons de nous soumettre plus longtemps à ce système capitaliste et patriarcal qui oublie que nous finirons tous par nourrir les vers, alors nous récupérons des os et de la chair morte pour en faire des ornements.

Nous refusons la superficialité et d’avoir un style de vie sans sens, alors nous diffusons des albums de Black Metal, que nous considérons comme art musical en parfaite alliance avec la conscience de la mort et la représentation sombre, sauvage et redoutable d’une nature sans humanité.

Nous refusons les religions, alors nous créons de l’art impie et profane.

Nous refusons l’éloignement de la nature et l’omniprésence de la chimie de laboratoires pharmaceutiques, alors nous créons nos propres remèdes pour les petits maux.

Nous refusons l'oligarchie, alors nous acceptons le troc de biens ou de services. Dans ce cas, contactez-nous ici.

En la mémoire de toute ces femmes assassinées, nous créons un archétype de la sorcière : femme forte, sauvage, proche de la nature, anti-chrétienne, savante. Cette sorcière est la raison d’être de notre « label d’art », notre guide, notre mentor et nous vous invitons à découvrir l'arrière-boutique de son humble cabane.
Replies: >>1029
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>>1026
La fameuse persécution des sorcières par l'Inquisition inventée par des libertins dégénérés au XIXe

L'Inquisition était un progrès face aux bouc emissaires etc (idée fortement pré chrétienne par ailleurs)

Le pape a interdit le marteau des sorcières
Les procès en sorcellerie avaient surtout lieu loin de Rome et son influence (genre en Saxe) 
Les sorcières étaient souvent condamné.es (il y avait aussi des hommes) par des foules enragées superstitieuses et parfois par les gouvernants, pas par l'église. L'Inquisition leur aurait souvent sauvé la vie si elle avait pu être sur place en leur offrant un procès equitable, malheureusement les gens superstitieux étaient souvent trop rapides.
l'Inquisition cherchait a corriger les hérésies, condamner a mort (ce qui de toutes façons n'était pas de leur ressort) = échec car ils ont pas sauvé l'ame de la personne
Replies: >>1030
>>1029
Ah ouais c'est sûr les procès en sorcellerie ont plutôt servis de prétexte pour le pouvoir en place (sous couvert religieux) pour se débarrasser des éléments marginaux à une époque où l'idée de communauté était très important.
Et aussi de boucs émissaires, la encore la sorcellerie n'était bien souvent qu'un prétexte fallacieux en réponse à des évènements qui dépassaient les connaissances de l'époque (catastrophes naturelles, empoisonnement de masse...) galvaudées par une trop grande superstition.
De là à dire que l'inquisition eût été à ce point plus clémente avec les personnes jugées pour acte de sorcellerie, je ne sais pas. Les méthodes de leur justice étaient je crois quelque peu biaisées et s'appuyaient par trop sur le dogme religieux et, comme les masses populaires sur une approche superstitieuse du réel. D'autant plus que l'inquisition était quelque part au service des puissants (pas de séparation du pouvoir clérical et du pouvoir séculaire) de l'époque et répondait à un impératif populaire. Donc pas impartial.

Après je ne suis pas spécialiste de la question. (Jeu de mot involontaire lol)
Avant-pop star Dorian Electra wasn't your average American student. As an 18-year-old, they were interested in exploring philosophy and political radicalisation through music, making their debut in 2010 with the song "I'm In Love With Friedrich Hayek"—a ballad to the economist who influenced Ronald Reagan and Margaret Thatcher’s free-market ideology. Electra was simultaneously working as a stripper, channeling their exploration of gender into an early career series of pop videos that told the history of feminism, drag and vibrators. More than a decade later, the artist has brought these seemingly contradictory facets of their interests into a bizarre and beautiful symbiosis.
Je viens partager ma joie avec vous.
J'ai rencontré un maître voyant astrologue qui a fait revenir mon mari en 3 jours.
Vous n'allez pas me croire mais,mon mari qu m'a quitté depuis plus de 3 ans je l'ai vu revenir après les travaux de cet monsieur voyant astrologue.
Il travail dans les domaines l'instabilité affectif,retour et rapprochement définitif de l'être aimé de près ou de loin même les cas les plus désespérés.
Problèmes familiaux,fidélité entre couple,désenvoûtement,protection contre les mauvais esprits,Chance dans vos projets,attraction de clientèle,réussite dans examens et concours.Il résoudra vos problèmes en 3 jours seulement et vous témoignerez comme moi de ces bien faits.Veillez me contacter pour que je puisse vous mettre en contact avec le maître mystique.
Je suis joignable sur ce numéro whatsapp: +33780970894
Une fratrie humaine comme le Terrien se génère, nait et se développe uniquement sur des planètes habitables à ambiance mammifère. Elle ne peut pas se générer, naître et se développer sur une planète habitable à ambiance reptile (dinosaure), oiseau, insecte ou seulement végétale ou minéral.
De même, des humains "parachutés" sur une planète habitable vierge d'humain dans l'espoir que leurs descendants la coloniseront, ne fonctionne pas. La colonie s'éteint dès ses premiers moments. Pour qu'une fratrie humaine ait des chances de survivre, elle doit passer par les stades de fécondation, de gestation et de naissance ; fécondation intelligente extraterrestre, gestation australopitèque, naissance humaine.

Pour faire naitre une fratrie humaine sur une planète habitable, il est impératif de créer une ambiance mammifère et laisser l'évolution faire son oeuvre jusqu'à l'apogée des mammaliens : les humains.

C'est ce qu'ont fait la ou les fratries humaines extraterrestres qui ont fait naître le Terrien. Après avoir découvert une planète vierge d'humains : la Terre, elles ont annulé la domination des dinosaures qui la cancérisait afin de favoriser le développement des mammifères lesquels étaient tenus à l'état primitif par la suprématie reptilienne. L'annulation de cette domination par météorites interposés correspond à la fécondation intelligente du Terrien. Une fois libérés du joug reptilien, les mammifères se sont développés jusqu'à leurs apogée : l'Humain.

Le Terrien, fratrie humaine habitant la planète Terre, est passé par le stade de gestation australopitèque dans une matrice mammifère. Cette matrice l'a porté en son sein, la fait naître humain et la nourrit après sa naissance. Il lui doit la vie. Sans elle il ne serait jamais né.

Le Terrien nouveau-né a rendu un culte aux mammifères dans ses premiers lieux saints pour exprimer leurs profonds sentiments. L'art pariétal veut dire deux mots : Papa, Maman. Maman, en hommage à la matrice mammifère qui l'a enfanté. Papa, en hommage à l'intelligence qui l'a conçut.
J'invite les aristocraties de l'esprit à abandonner le monde matériel, dans toutes ses composantes et dimensions, économique, sociale, politique, médiatique : ce monde ne nous concerne plus.

Je les invite à l'abandonner à la masse des animaux humains, à l'abandonner à leur consommation imbécile, à leur bruit tapageur, à leur vide intérieur, à leur hédonisme primaire, à leur matérialisme stupide, à leurs divertissements débiles, à leur clientélisme politique, à leur égalitarisme absurde, à leur démocratisme réducteur, à leur mercantilisme avilissant, à leur cupidité vorace, à leur vulgarité innommable et à leur médiocrité profonde.

Je les invite à l'exil dans les mondes immatériels de l'intelligence, de la connaissance et de la création.

Je les invite à cultiver le retrait, le contact minimaliste avec cet autre monde qui n'est déjà plus le nôtre.

Je les invite à quitter les villes et les régions de promiscuité.

Je les invite à construire des communautés immatérielles, libres et cooptatives dans les cyberespaces, loin des géographies terriennes, loin des "patries" nationales, loin des lieux de pouvoir, mais bien près des splendeurs terrestres.

Je les invite aux épousailles de la Nature et de la Culture, loin de l'humanitude.

Je les invite à la verticalité et à l'intériorité.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vsevolod_Meyerhold
https://en.wikipedia.org/wiki/Nadia_Heninger
Annonce matrimoniale de l'honnete homme

Bonjour,

Je recherche une femme mince, polie, élégante, qui ne se contente pas de s'occuper des tâches ménagères, mais s'acquitte de la part qui lui incombe en fermant sa gueule.

De bonne éducation, s'exprimant d'une voix douce, dans un français correct et à un volume sonore acceptable, elle ne prend la parole que pour dire des choses utiles, constructives ou drôles.

Possédant un QI à 3 chiffres et un semblant de jugeotte, elle n'a pas, depuis sa prime jeunesse, entretenu des relations chaotiques avec tous les connards qu'elle a croisé. Ayant su se tenir le plus loin possible des problèmes, elle est saine d'esprit.

Dotée d'un goût très sûr et d'un sens de l'esthétisme inné, elle n'arbore pas de tatouages ignobles ni ne porte de tenues vulgaires. Il n'y a que dans l'intimité qu'elle se révèlera être une grosse salope incroyablement soucieuse de mon plaisir et de ma satisfaction.

Sur son temps libre, elle recherche activement des femmes pour faire des plans à 3.

Respectueuse, elle exécute chaque matin une séance de squat et de chien qui pisse pour rester désirable. Le respect commence par soi-même. La séance de sport se fera en silence, et une fois les assouplissements terminés, elle fera couler un café chaud qu'elle m'apportera au lit, ruisselante de sueur. 

Frugale, elle dépense avec parcimonie l'argent du ménage. Etant naturellement belle, elle n'aura nul besoin de tenue dispendieuse pour se mettre en valeur. Ne voulant plaire qu'à moi, elle ne dépensera pas des fortunes pour acquérir des objets transitionnels afin de soigner sa valeur mondaine.

Son souhait le plus cher est de faire des enfants dont elle s'occupera avec amour. 

Amoureuse de gastronomie et de produits frais, elle prépare des repas sains, délicieux et économiques pour toute la famille.

Débrouillarde, dégourdie, courageuse, elle bosse et fait ce qu'elle doit faire.

Autonome et curieuse, nourrissant une vie intérieure riche, elle n'a pas besoin de mon attention constante pour combler son vide intérieur.

Soucieuse de mon bien-être et de mon épanouissement, elle ne nourrit pas le projet de me castrer sournoisement (par des névroses ménagères, des remarques insultantes, l'instauration de tabous, en m'engraissant, en m'obligeant à mettre des chaussons ou pisser assis).

Vivable enfin, elle ne veut pas regarder de films pourris sur Netflix tous les soirs, n'exige pas de faire des "activités" tous les week-end, ne veut pas "refaire le monde" tous les soirs autour d'une bouteille de vin, n'entretient pas de relations toxiques et vaines avec de faux amis complètement cons.

Idéalement, elle ne discute pas de politique, car elle a la délicatesse de comprendre que tout le monde s'en bat les couilles.

Si vous ne correspondez pas tout à fait à cette description, je suis tout enclin à vous remplir de foutre et à vous gargariser de pisse, dans le respect et bienveillance, mais cela n'ira pas plus loin.

Il se peut qu'en lisant mon annonce, vous me trouviez exigeant. C'est en réalité le minimum que je demande. Je vous laisse m'exposer vos nombreuses autres qualités.

Au plaisir de vous lire mesdames.

P.S : blague à part, si une femme se reconnaît vraiment dans cette description, qu'elle m'envoie un message privé au plus vite :D
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I’m a doctor at an urban county hospital in the South. We occasionally get obstetric patients in labor that are so large that I truly wondered how they conceived the child.

So one night I go in to introduce myself before placing an epidural. The lady is maybe 450 lbs and her partner is similarly large. After congratulating them, the patient’s mother said, “we’ve all worked very hard for this baby.” I thought the wording was odd….later commented this with a colleague who was like, oh yeah, I’ve been told that family members participate in the conception by…holding body parts out of the way so the couple can physically approximate their genitals.
Replies: >>1183 >>1184 >>1270
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>>1182
> pasta/10, would throw up a little again.  :D
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>>1182
Bjour je sais pas si Pascal le grand frère verra cela j ai été envoyé en foyer me jamais été violent avec ma mère placer depuis l âge de 6 ans a 14 ans les cheftaines me frapper me fesait prendre des douches froides et même en plein midi une cheftaines me mettait a Poil devant les filles me donner des coups de chaussons dommage peut être en en contact avec lui j ai eu que de mauvaise chose la bas cela a détruit ma vie
Retour en 1997 lorsque le lieu vivait ses derniers mois. C’était une petite infrastructure accueillant une vingtaine d’animaux dont la plupart était des singes et il y avait surtout un éléphant qui faisait la réputation du lieu, c’était même le logo du parc. Au fil des années, le zoo ne s’était jamais modernisé ni agrandi, l’effet ne fut pas sans conséquence avec une chute de fréquentation qui le conduit à la faillite. La municipalité de l’époque, pour ne pas perdre un des seuls endroits touristiques de la ville, décida de le sauver en le rachetant et en le transformant en zoo municipal. Malgré cet effort, la descente aux enfers continua. Une association de protection et de défense des animaux décida d’entamer des actions pour réclamer la libération des bêtes à cause de l’état des lieux et de mauvais traitements signalés. Une pression populaire se mit même en place avec des pétitions et des manifestations devant le zoo. La fréquentation du zoo était en chute libre.

Pour sauver une deuxième fois le lieu, le maire de l’époque eut une idée à la fois audacieuse et osée. En accord avec l’association, il accepta de libérer les singes en premier lieu et de faire de même pour les autres animaux, le temps de faire une transition et d’adopter une reconversion pour l’endroit. Son idée, il a longtemps hésité à la proposer, par peur de créer un malaise et une incompréhension mais il se décida à franchir le pas lors d’un conseil municipal en proposant que cela soit des hommes en costume qui interprètent les singes. Il alla même plus loin dans sa proposition en demandant à ce que ces postes soient proposés à des condamnés en prison. C’était une solution pour les prisons qui étaient, déjà à l’époque, surchargées. Faire le singe dans un costume comme travail d’intérêt général pour éviter la case prison, l’idée était là. Il mit du temps à se faire comprendre et à ce que l’on accepte cette proposition hors du commun. Évidemment, cette proposition était destinée aux condamnés pour des faits légers tels que vol de voitures, vandalisme, loin de là l’idée de mettre des tueurs ou des violeurs dans un costume de singe, le lieu étant fréquenté essentiellement par des enfants. Les délinquants surpris par cette proposition ne réfléchirent pas longtemps, le jeu en valait la chandelle, leur peine pouvait être réduite de moitié. Pour le zoo, c’était une aubaine de pouvoir toujours proposer aux enfants de voir des animaux, les costumes étaient remarquablement bien faits. Ils ne se doutaient jamais qu’il y avait un homme derrière l’animal. Des associations humanitaires crièrent au scandale en disant que l’on avait jamais été aussi loin dans l’humiliation et le dénigrement, beaucoup de personnes allèrent même dire que c’était raciste de considérer ces racailles comme des singes, la connotation était plus que douteuse.

Malgré ces quelques retours négatifs, la classe politique acclama cette intégration sociale même si elle commençait tout en bas de l’échelle de Darwin. Cette situation ne tint pas longtemps et la violence devint quotidienne. Les singes insultaient les visiteurs de ne pas les regarder dans les yeux, demandaient des cigarettes et volaient les téléphones à travers les barreaux des cages. Un spectacle désolant devant les enfants qui ne comprenaient pas comment un singe pouvait parler de la sorte. Un climat lourd, de plus en plus tendu au fil du temps, s’installa, la situation devint totalement ingérable. Le lieu s’était même transformé en plaque tournante de la drogue, les singes dealaient du shit et de la cocaïne devant les enfants. L’aspect convivial du zoo était fortement atténué avec les descentes de police en pleine journée devant les visiteurs. Le zoo fut définitivement condamné après un concours de circonstances dramatiques. Un jour, voyant les policiers intervenir au zoo, un des singes décida de jeter son sachet d’un kilo de cocaïne dans l’enclos de l’éléphant pour éviter d’être piégé par une probable perquisition de sa cage. Malheureusement, le grand mammifère fut attiré par l’odeur de la drogue et se mit à l’engloutir entièrement. En quelques secondes, l’animal devint fou et nerveux, il commença à tourner en rond à toute vitesse devant des spectateurs médusés. Il poussait des cris et balançait sa trompe dans n’importe quel sens. C’est alors qu’il se mit à se diriger vers la cage à toute allure en la fracassant en un coup. L’éléphant se retrouva au milieu de la foule, à toute allure, et écrasa plusieurs personnes, la panique dans le zoo était totale. Il réussit même à s’échapper complètement de l’enceinte pour se retrouver sur la route, les voitures voulant l’éviter tombèrent dans le fossé ou se percutèrent les unes aux autres, un véritable chaos. La menace, c’était la direction que prenait l’éléphant, il se dirigeait tout droit vers la ville de Riom, un carnage en prévision. A sa poursuite, des chasseurs en 4×4, fusils en main, ciblaient le mammifère à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’il s’effondre au sol. Il ne se releva plus jamais. Le bilan de cette échappée sauvage fut dramatique, 8 enfants et 3 adultes morts écrasés et des vingtaines de victimes qui eurent des séquelles graves. Le zoo n’ouvrit plus jamais et le projet d’incorporer des prisonniers dans d’autres zoos en France fut immédiatement annulé.
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>>1182
entitée musicale dépressive, née d'un monde sans espoir,
nous n'avons pas de genre,
pas de croyance,
pas de nom,
pas de valeurs,
juste l'amour d'une cause.

ANARCHIE
Buy a thinkpad x230 and install heads. Write protect the flash chip. Put nail polish on the screws and take high resolution pictures to ensure signs of tampering. Do NOT use a HDD or SSD. They have DMA so a malicious firmware could do a lot of damage, use of USB is preferred since they do not have DMA. Completely remove the microphone, sound card, webcam and the WWAN card from the laptop. Remove the fan to prevent binary acoustic data transmission. Replace the default wifi card with a supported atheros card. Disable wifi when not in use, preferably by physically removing the card. Make your own independent Linux distro from scratch. Most Linux distros value convenience over security and will thus never have good security. Your only option is to make your own. Use musl instead of glibc, Libressl instead of openssl, sinit instead of systemd, oksh instead of bash, toybox instead of gnu coreutils to reduce attack surface. Enable as little kernel modules as possible. Use a hardened memory allocator. Apply strong SELinux and sandboxing policies. Restrict the root account heavily to make sure it never gets compromised. Disable JavaScript and CSS in your browser. Block all FAGMAN domains in your hosts file. Monitor all network requests. Do not use a phone. Never speak near anyone who owns a phone, they are always listening. Never use any non-corebooted technology made after 2006. Never leave your devices unattended. Tape triple layer aluminum foil all around your room as tempest shielding. Type really quietly as defense against audio keylogging. Use ecc ram to minimize rowhammer and rambleed. Encrypt everything multiple times with various different encryption implementations. Compile everything from source. Use hardened compilation flags. Always read through the source before installing something if possible. Only use the internet when absolutely necessary.
Replies: >>1313
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>>1310
Lol. Based-schizo is based. This sort of thinking is the only hope of becoming halfway not-low-hanging-fruit for the POS Glowniggers and other troons.

As everyone knows, there's always the first line of defense as well...
>pic-related
:^)
Il serait utile de rappeler que les personnes racisées, les personnes musulmanes et juives, et les personnes LGBTQIA+ sont les premières cibles de l’extrême-droite, mais manifestement la Jeune Garde ne l’a toujours pas compris puisqu’à chaque manifestation, le cortège des personnes les plus vulnérables est reléguée en fin de cortège…la position la plus fragilisée et la plus invisible. Ces mêmes personnes qui se font agresser tous les jours reçoivent un message clair : “La lutte antifasciste, c’est un truc de mascu viriliste blanc, vous n’avez pas votre place dans la lutte antifasciste en dehors de notre utilisation de votre image de victimes de l’extrême-droite”.
« J’ai demandé à ChatGPT : imagine que tu es Alain Damasio et que tu veuilles écrire sur l’eau »

Le célèbre auteur de science-fiction a parcouru la Silicon Valley pour écrire son premier essai : un texte vertigineux qui propose une forme renouvelée de technocritique, à la mesure du basculement engendré par les IA. Rencontre dans les Alpes.
« L’école des vivants », cette nouvelle « zone d’expérimentation sociale terrestre et enchantée » fondée par l’écrivain Alain Damasio en compagnie d’un petit groupe, est située au bout d’une piste de graviers que de majestueux renards traversent de temps à autre. La piste part d'un petit village perché au-dessus de Sisteron et de la vallée de la Durance en contrebas.

Mais c’est à une autre vallée, bien plus connue et technologique, que le célèbre auteur de science-fiction, notamment de La Horde du Contrevent ou des Furtifs, a consacré son dernier livre, intitulé Vallée du Silicium (Albertine/Seuil).

L’idée à la fois simple et féconde était de confronter un écrivain de science-fiction à la Silicon Valley où s’invente une large partie de notre futur.

Si Alain Damasio signe ici son premier essai, on pourrait, comme il aime le faire, fusionner les mots et les concepts, et juger que le livre déplace les frontières entre la « fiction » et la « non-fiction » pour proposer ici une forme de « romanalyse » apte à sillonner un espace qui est autant un lieu réel qu’un réservoir d’imaginaire, autant un État d’Amérique qu’un « état d’esprit », ainsi qu’il l’écrit.

Le livre entre dans cet univers à travers des portes d’entrée concrètes : le siège social d’Apple, les voitures sans conducteur, la cohabitation à San Francisco entre les cadres surpayé·es de la tech et les « homeless » toxicomanes, ou encore la vie d’un homme bardé de capteurs et adepte du quantified self…

Mais l’ouvrage pratique des allers-retours constants entre ces réalités, les récits qu’ils alimentent, et les imaginaires utopiques et dystopiques qui les soutiennent. Le livre se conclut alors logiquement par une courte fiction, qui ne constitue pas une simple illustration de ce qu’on vient de lire, mais une projection, tout aussi hallucinée que matérialisée, du monde dessiné par la Silicon Valley en général et par l’intelligence artificielle en particulier.

Outre les sujets spécifiques qu’approchent les différentes chroniques réunies dans le livre, la puissance de cet essai tient à trois dimensions. D’abord la position d’Alain Damasio, qui, par son regard d’écrivain de science-fiction, nourri de prospective et d’une passion informée et lucide pour les technologies, nous permet de voir la Silicon Valley avec le recul nécessaire. Recul à la fois vis-à-vis de la fascination qu’elle exerce trop souvent ouvertement ou silencieusement. Mais recul aussi vis-à-vis d’une critique « très française » qui n’arrive à penser les machines et les technologies qu’à travers la dialectique du maître et de l’esclave, dans laquelle l’humanité serait toujours sous la menace d’être dépassée ou remplacée par ses créations devenues créatures.

Ensuite, la façon dont l’écrivain arrive, par ses formulations, à décrire à nouveau des éléments qui paraîtraient intuitifs ou déjà connus, mais dont on redécouvre sous sa plume le caractère vertigineux : l’avènement d’un « numiversel » dont les temples se trouvent en Californie, les « serf made men » qui la peuplent ou la façon dont nous avons désormais tendance à immédiatement donner notre langue au chat…

Enfin, une thèse centrale forte, qui parcourt l’ensemble du livre, à savoir la manière dont les technologies forgées dans la Silicon Valley pénètrent dans nos intimités tout en évacuant nos corps et en enrayant nos rapports aux autres, à force d’enfermer chacun dans un « technococon » le rendant incapable de déployer un rapport au monde autrement que depuis la position d’un individu solitaire médié par la technologie.

Comme Alain Damasio l’écrit, le cœur de sa technocritique est bien celle-ci : « La tech, ontologiquement, conjure l’altérité. » En effet, les « réseaux sociaux nous connectent mais ne nous lient pas », puisqu’ils nous mettent certes en relation, mais en tant que déjà – et probablement définitivement – séparés.

Entretien en partant d’un ouvrage qui caracole en tête des ventes, sans doute parce qu’il soulève, sans mélancolie, l’abysse qui s’ouvre devant nous si nous laissons le futur se bâtir sans nous.

>Mediapart : Vous écrivez que c’est une idée « courte voire stupide » que de penser qu’une technologie est neutre. Existe-t-il des critères permettant de distinguer une technologie émancipatrice et positive d’une technologie nocive ?

Alain Damasio : Oui. Le principal oppose sans doute les technologies qui nous procurent du pouvoir et celles qui nous donnent de la puissance, pour reprendre une catégorie spinoziste. Les premières augmentent nos performances et transforment notre réel. On demande ainsi aujourd’hui aux applis, aux robots, aux machines de faire ce qu’on ne veut pas faire.

Le GPS constitue un exemple emblématique. Quand on arrive dans une ville inconnue, il est parfait pour nous diriger de carrefours en ronds-points, en suivant ses instructions. Mais ce pouvoir se paye d’une perte multiple : capacité à s’orienter seul, à repérer les sites clés de la ville, à mémoriser où se trouve la mer, connaissance plus intime des modes de circulation…

Tout ce travail mental mobilise nos fonctions cognitives et nous oblige à chercher, au risque de se perdre parfois, mais en nous donnant un tout autre rapport à la ville qu’une carte qui pointe un trajet sous la dictée d’une machine.

Une technologie comme le GPS nous offre ainsi un pouvoir important qui se paie d’une puissance appauvrie. D’autres nous donnent à la fois pouvoir et puissance. Wikipédia, par exemple, me donne accès à toute une synthèse de connaissances sans limiter ma puissance de création, et même en l’augmentant.

Comme écrivain de SF, pour la nouvelle qui clôt le livre, je me suis ainsi servi de Wikipédia pour me renseigner sur les conséquences d’un blackout ou les deadbots sans avoir besoin, comme je le faisais plus jeune, d’aller à la bibliothèque de Beaubourg consulter moult Sciences & vie mal indexés et bien moins complets.

Un second critère serait le degré d’ouverture et de fermeture des techs. C’est particulièrement visible dans le jeu vidéo. Des jeux comme celui de la pastèque, 2048 ou Tetris fonctionnent sur des logiques addictives, répétitives, qui sollicitent le circuit de la dopamine, des boucles aussi simples qu’efficaces, dont il est évident qu’elles nous enferment dans leurs cycles stimuli-réactions.

D’autres jeux vidéo, comme Zelda, proposent des mondes ouverts, qui déploient un imaginaire et même une culture, nous obligent à résoudre des énigmes, à être créatifs pour avancer dans les quêtes. Ce qu’on y expérimente apporte plus que de nombreux films, car la mobilisation du corps et du cerveau y est souvent plus intense.

Les réseaux sociaux sont eux aussi plus ou moins ouverts. Par exemple, pour moi qui suis fan de foot, je vais dans le forum de So Foot pour avoir une lecture, bien plus fine que les articles, du match, de la tactique ou du capitalisme footbalistique. Alors que les commentaires sous les articles de L’Équipe vont t’enfermer, eux, immédiatement dans une logique campiste : pro-Barça ou pro-Real…

>Jusqu’à quel point ce rapport entre un outil technologique et son usager est-il lui-même constitué par l’impact plus général de ces technologies sur notre rapport au monde ?

Cela fait partie des critères plus complexes à appréhender car ils ne sont pas donnés d’emblée. La technologie de la voiture, comme l’a bien montré Ivan Illich, a eu un impact considérable : elle a « inventé » le trottoir, la station-service, nous a obligés à bâtir des kilomètres carrés de parkings, à restructurer nos villes, à extraire le pétrole… La simple création de quelques pistes cyclables exige de transformer de fond en comble un espace fait par et pour la voiture !

On peut imaginer que les effets de l’IA générative soient encore plus massifs. Non seulement l’IA va supprimer des millions d’emplois, mais elle va renforcer nos technococons et notre manière de vivre notre rapport au monde et aux autres de façon individualiste et egocentrée.

Tu ne seras plus obligé de parler à des personnes qui ne partagent pas tes goûts, ou qui ne seraient pas bienveillantes avec toi, parce que ces IA qui entrent déjà dans nos intimités le feront sur un mode cajolant.

Les Gafam ont déjà rentabilisé nos appréhensions sociales ou notre peur de manquer tel ou tel événement. La convergence de toutes les technologies déjà en place vers une IA personnelle et intime, qui compilera et agencera la totalité de tes traces sur les réseaux, tous tes messages, actes, paiements et choix – et se fera avec notre consentement – a quelque chose de captivant et d’abyssal. Ça deviendra notre premier interlocuteur face au monde.

>Est-il possible de retourner ou détourner les technologies trop enfermantes ou envahissantes ?

Ce qui est nécessaire, c’est de comprendre leur fonctionnement et d’identifier leurs points faibles. Un phénomène émergent est la « shitification » d’Internet – son devenir merdique – sur laquelle travaillent aujourd’hui déjà des entreprises de premier plan.

Aujourd’hui, la quasi-totalité de ce qui a été produit par l’humanité depuis ses débuts a été digérée par le numérique. Désormais, avec l’IA générative, ce qu’ingère Internet, c’est de plus en plus de photos, de vidéos et de textes produits par des IA.

Internet s’est nourri de siècles de savoir humain, mais désormais la digestion est de plus en plus une dégradation, dans la mesure où les prochaines générations d’IA ne vont pas travailler à partir de sources humaines, mais de reprises et simulations remixées par des IA.

Elles vont fonctionner à partir de données qui ne seront pas « fraîches », ni issues du réel. Si bien que les acteurs du secteur se demandent déjà comment réinjecter du réel, de l’originel, dans tout ce qui est généré par les IA ! Fou, non ?

De sorte que le revenu universel – une idée de gauche même si elle a pu être reprise par la droite – revient à la mode dans la Silicon Valley. Sur le mode : « Puisqu’une palanquée d’emplois tertiaires vont être remplacés par nos IA, on pourrait payer des gens à filmer leur vraie vie », pour la réinjecter dans un monde numérique en voie de merdification, afin que les datas utilisées ne soient pas trop pauvres ou recyclées. C’est aussi fascinant que terrifiant.

>Quels sont ces « arts de vivre avec les technologies » que vous prônez ? Passent-ils nécessairement par des formes de déconnexion ?

Puissance plutôt que pouvoir, et ouvert plutôt que fermé. Mais la dimension temporelle est aussi déterminante. Les algorithmes sont des allo-rithmes au sens où ils sont étrangers au fonctionnement humain. Ils fonctionnent vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept alors que nous avons besoin de repos, de pauses, de stases… Il faut donc des moments de déconnexion ou de sous-connexion.

Pour moi, la multiplication des burn-out n’est pas seulement liée aux bullshit jobs, mais aussi aux processus continus inhérents au digital. Si on ne paramètre pas les notifications et les sollicitations qui nous parviennent à un rythme qui n’a rien d’humain, il est impossible de tenir sans craquer.

Même en refusant d’avoir un smartphone, en n’ayant que le mail comme point d’entrée vers les réseaux, je perds parfois la capacité de jongler entre moments de connexion et de déconnexion tellement les sollicitations sont nombreuses et incessantes.

>Est-il encore possible de n’avoir pas de smartphone comme au moment où vous l’aviez décidé il y a quelques années, alors que toute opération bancaire exige désormais une validation ?

Ce n’est en réalité possible que parce que je ne suis pas un pigiste qui se doit d’être joignable facilement et que je peux emprunter le smartphone de ma compagne pour valider un virement !

Sans aller jusqu’à supprimer les smartphones, un art de vivre avec les techno peut demander des actes simples, comme le fait de laisser son smartphone à la maison, afin d’être disponible à la randonnée qu’on va faire, aux gens qu’on croise au café ou à la personne avec laquelle on déjeune. Il s’agit de sortir de proche en proche du technococon pour rester disponible au monde. Et à son corps.

C’est une forme de politesse sociale élémentaire, mais l’enjeu va bien au-delà : vers une nécessité de ne pas se couper des autres, de tout ce qui peut m’émanciper, me cultiver, me nourrir.

Vivre intelligemment avec les technologies implique clairement une éducation, où les différentes générations pourraient d’ailleurs s’apprendre mutuellement beaucoup de choses, même si aucune n’est vraiment formée à le faire.

En la matière, l’Éducation nationale ne joue pas du tout son rôle. Venant de l’extrême gauche, je ne place pas ma confiance dans les grandes institutions, mais il faudrait d’urgence créer un troisième pilier, avec les maths et le français, qui serait l’apprentissage de nos outils quotidiens. S’il existe des cours d’éducation civique, il faudrait des cours d’éducation numérique.

Nous devrions tous être capables de comprendre le design de la dépendance mis en place par Instagram, chercher comment piéger l’algorithme de TikTok ou savoir choisir un jeu vidéo dont le game design ne soit pas fondé sur l’addiction.

Puisque l’Éducation nationale n’est pas prête à s’emparer intelligemment de ce sujet, c’est aux parents de le faire. Avec mes propres filles, je réalise que ma femme et moi agissons sur deux choses : les films, séries et dessins animés d’un côté, et les lectures de l’autre.

C’est un bon début mais je les rendrais sans doute plus libres en intervenant avec pertinence sur les applis et plateformes qu’elles utilisent, qui offrent plein d’outils géniaux, qu’en conseillant un bon livre.

Le quotidien des adolescents se passe sur tablette ou smartphone et la seule « éducation » en la matière consiste à dire oui ou non à l’ouverture d’un compte Insta ou à imposer une limite de temps.

Alors qu’une heure sur un smartphone peut être débile ou utile selon ce qu’on vous apprend à y faire et y voir. Ce qui compte n’est pas le temps d’écran en soi, mais ce qu’on y fait.

Si je reviens au vertige de l’IA générative : c’est un outil surpuissant, un superpouvoir qui parle mieux que les ados, synthétise mieux que les ados, fait de meilleures images que les ados, au moment où eux doutent et se construisent… Comment éviter qu’ils aient envie de ce superpouvoir avant même d’avoir appris à penser ? Le piège est monstrueux.

>Votre séjour dans la Silicon Valley va-t-il modifier vos manières d’écrire vos romans de science-fiction ?

J’étais parti sur l’idée de faire mon quatrième roman autour de l’eau, à la façon dont l’air et le vent avaient structuré La Horde du Contrevent. Mais après ce que j’ai vu là-bas, il va m’être difficile de m’abstraire d’un fond dystopique.

Si je veux montrer ce que produit l’envahissement de l’IA, il va falloir écrire rapidement, tellement ça va vite. Nous avons vécu une première révolution avec l’arrivée d’Internet, puis une seconde avec le smartphone, objet nomade totalitaire qui crée une cohabitation intime et permanente avec une techno précieuse mais ultra-intrusive.

L’IA amène une troisième révolution qui va être bien plus violente et puissante, parce que ce sont des machines de langage, c’est-à-dire fondées sur ce qui lie fondamentalement les humains : le fait de s’écouter et de se parler.

L’IA va ainsi révolutionner non seulement le travail, mais notre rapport au monde et à soi. En tant qu’écrivain de SF, c’est mon boulot de rendre concret ce qui est encore potentiel et de proposer un art de vivre et d’esquiver qui nous rende agiles et libres.

Le combat se fait aussi dans la langue elle-même. Dans la nouvelle qui clôt le livre, j’ai utilisé ChatGPT pour lui demander de rédiger les questions que pose l’IA à Noam, quand elle lui demande de prouver qu’il n’est pas un père violent pour autoriser l’ouverture d’une porte derrière laquelle se trouve sa fille.

J’ai donc prompté à l’IA : « Imagine que tu es un psychologue, quelles questions poserais-tu ? » J’arrivais alors à quelque chose de très plat, parce que l’écriture des IA est probabiliste, c’est-à-dire qu’elle avance en mettant, à la suite des deux premiers mots, le troisième mot le plus probable, à partir du stock immense de textes intégrés et pondérés par les IA.

Ce type d’écriture est l’inverse de ce qu’un vrai écrivain doit faire : à savoir déjouer l’attendu, tout en construisant une phrase fluide.

Ces machines de langage nous obligent, en tant qu’écrivains exigeants, à lutter encore plus radicalement contre les clichés, les associations toutes faites, les images attendues…

Comme je voulais écrire un roman sur l’eau, j’ai fait un autre test en demandant à ChatGPT : « Imagine que tu es Alain Damasio, et que tu veuilles écrire sur l’eau, quel type de roman tu ferais ? »

L’IA a produit des pistes pas inintéressantes, mais qui correspondaient à mes propres clichés : un monde dystopique, un mouvement révolutionnaire qui affronte cette dystopie… L’IA me proposait une version de mon imaginaire pas inexacte, mais simulée et dégradée. Ça te met face à tes propres routines, ça te pousse à inventer autrement.

>Vous tentez de nommer ce que serait, a contrario, une technologie qui nous émanciperait en nous faisant grandir et découvrir davantage que ce que nous sommes sans elle, en forgeant le mot « biopunk ». Pourquoi ce terme ?

Le cyberpunk a été un mouvement dominant de la SF, portant l’idée que notre couplage avec les technologies pourrait nous rendre plus libres, plus fous, plus vastes. Mais cette idée a fait son temps et a été récupérée par les multinationales.

La promesse d’émancipation a été trahie. Ce qu’on a créé, ce sont d’abord des machines qui entretiennent notre auto-aliénation et nous rendent dépendants de designs et d’algorithmes que nous ne maîtrisons pas.

Si on veut aujourd’hui imaginer une « augmentation » de l’être humain, il me semble prioritaire de se coupler avec le vivant, avec les forces animales et végétales. L’attrait contemporain pour les drogues liées aux champignons est sans doute un petit aspect de cette dynamique.

Savoir faire pousser des légumes, cuisiner des plantes sauvages, se baigner en rivière ou connaître les chants d’oiseaux communs qui nous entourent fait partie de cette culture du vivant, qui peut s’hybrider – et s’hybride déjà – avec des technologies modernes.

Quand on parle de ce qu’on fait ici dans les Alpes, au sein de notre « École des vivants », de la nécessité de se déconnecter des réseaux, la pensée réflexe vous dit que vous voulez retourner au XIXe siècle ou au Moyen Âge. Alors que le développement des sciences du vivant, notamment de l’éthologie et de la biologie, fait que le tissage avec le vivant est infiniment plus fin aujourd’hui qu’hier.

Tout ce qu’on sait désormais sur les arbres et les oiseaux, pour prendre deux exemples simples, révolutionne les liens qu’on construit avec la forêt ou avec le sentiment de ce qu’est un territoire chanté, poreux. La précision des relations organiques qu’on tisse avec nos biotopes suscite des désirs et des rencontres, une ouverture au monde qui peut battre le capitalisme sur son terrain.
>Pourquoi est-ce sur le terrain du désir qu’il faudrait battre le capitalisme ?

Il faut bien sûr l’affronter partout. Simplement, si l’on ne cherche pas à activer d’autres désirs que la consommation, on ne pourra jamais le vaincre. Le capitalisme de la tech nous offre l’ubiquité de la vitesse-lumière, la possibilité d’être un petit dieu, la sensation d’omniscience, le contrôle de nos environnements, une paresse outillée, la possibilité de rencontrer une infinité de personnes rien qu’en allumant son smartphone... Cette économie du désir est extrêmement puissante.

Mais ce qu’on propose dans notre « zeste » [« zone d’expérimentation sociale, terrestre et enchantée » – ndlr] – des soirées intenses d’échange, des expériences partagées, des luttes communes où l’art féconde l’action directe, la réalisation d’un livre physique en une semaine ou le maraîchage d’altitude, entre dix exemples –, c’est aussi très puissant.

Parce que ça se fait en collectif, et que ça fait pousser ces fameux « liens qui libèrent », selon le nom prodigieux donné par Henri Trubert à sa maison d’édition. Le point faible du néolibéralisme, c’est qu’il n’adresse son économie libidinale qu’à des individus qui pensent se libérer seuls et perçoivent les autres comme des chaînes, des contraintes.

Pourtant, quand vous apprenez avec un ornitho à reconnaître un circaète à sa manière de contre-nager dans le ciel, quand vous apprenez à ramasser et à cuisiner des girolles, à lire une rivière et à construire des barrages comme le castor que vous avez vu glisser à fleur d’eau, je peux vous assurer que votre sentiment de liberté, votre joie, augmentent bien davantage que ce que peut vous proposer n’importe quelle appli.

Ce qui est vrai, c’est que ces désirs sont plus longs à construire. Bâtir un écolieu qui soit une base arrière des luttes demande du temps, comprendre une forêt et son écosystème entier aussi. C’est un futur qui se construit lentement, alors que le capitalisme nous a formatés à satisfaire immédiatement nos pulsions. Mais même si, ici, on ne touche que 600 ou 700 personnes par an, on ne changera pas ce monde sans expérimenter, sans cesse, et sans descendre dans le « faire ». Écrire des livres ne suffit plus à mes yeux.
https://www.youtube.com/watch?v=E1Dn3F7Ili8&t=371
La multinationale suisse Nestlé, qui détient à elle seule plus d’un tiers du marché des eaux en bouteille en France, sollicite alors un rendez-vous auprès du cabinet de la ministre de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher. Une rencontre est organisée à Bercy, en toute confidentialité, fin août 2021. Dans une sorte d’étrange et totalement informelle procédure de plaider-coupable, Nestlé reconnaît avoir recours à des traitements non conformes. Et les représentants de la multinationale expliquent au ministère de l’Economie que sans ces traitements, il ne leur serait plus possible de poursuivre l’exploitation de leurs usines d’eaux minérales. Car les sources d’eau exploitées par le groupe Nestlé sont régulièrement contaminées.

Selon l’article 40 du code de procédure pénale, tout officier public "ayant acquis la connaissance d’un crime ou d’un délit" doit immédiatement saisir le procureur de la République. Pourtant, à ce stade de l’affaire, le gouvernement décide de ne pas informer la justice ni les autorités européennes. Selon l’article 11 de la directive 2009/54/CE sur les eaux minérales naturelles, si un État membre a des raisons d’estimer qu’une eau ne respecte pas la réglementation, il doit pourtant en informer immédiatement la Commission et les autres Etats membres. Mais là encore, aucune information n’est transmise par la France, comme nous l’a confirmé la commission.

En attendant, lors du rendez-vous organisé à Bercy, Nestlé ne fait pas qu’informer le gouvernement. Il sollicite la possibilité de pouvoir continuer à avoir recours à ces traitements interdits. La multinationale lui demande même d’étudier la possibilité d’une évolution de la réglementation en sa faveur, en lui accordant la possibilité de purifier ses eaux grâce à des filtres ayant une capacité de filtration inférieure à 0,8 micron, c’est-à-dire une plus grande capacité de filtration. Cette stratégie va s’avérer payante, puisque le gouvernement va accepter de jouer le jeu de la négociation.
>À contretemps, n° 21, octobre 2005
https://acontretemps.org/spip.php?article85
>Colson, Daniel. « Nietzsche et l'anarchisme », Lignes, vol. 7, no. 1, 2002
https://www.cairn.info/revue-lignes1-2002-1-page-170.htm
Vidéo complètement incompréhensible, sur une affaire qui m'intéressait assez peu précédemment. Il est assez perturbant de voir un média produire un étalage sans propos : revenons simplement sur des faits. Les faits sont que les symboles et les éléments reprochés sont exposés. C'est partant de là qu'ils doivent être jugés. Tout propos qui commencerait par : "Oui mais un X de X-sphère a une opinion sur le fait que..." ne fait qu'embrouiller, c'est complètement inutile. Que QAnon, des peoples de gauche, Tucker Carlson ou ta grand-mère anabaptiste aient un avis j'en ai plutôt rien à foutre, la preuve j'ai le mien, d'avis. 

Cet avis c'est qu'il faut s'en tenir à la règle déontologique la plus essentielle, à savoir que "le bruit autour d'un objet peut être un sujet, mais ne se substitue EN RIEN à l'objet". Sans quoi le propos est creux, il n'est pas informatif. Exemple type pour illustrer : "la promotion d'une entreprise autour de l'exploitation des enfants passe mal aux yeux de XYZ" - au-delà du fait que ça devrait être généralement considéré comme mal, la question n'est pas que l'entreprise ou ses rivaux en pensent quelque chose, mais de savoir si cette promotion a effectivement lieu, et de ce que cela dit de CELUI QUI PROMOTIONNE non de celui qui réceptionne le message.

C'est assez gênant ! Des non-professionnels ne devraient pas avoir à vous rappeler au devoir d'information (pour lequel le service public vous finance) qui prime sur l'infotainement, pour laquelle vous n'apparaissez pas en compétence : pour cela il faudrait savoir gérer le sarcasme et le bon goût, dans une écriture exigeante, qui identifie un public clair. Et plus important que tout, la clarté dans l'expression, ce qui vous évitera la bêtise d'alimenter les causes dont vous maudissez les conséquences, à savoir, l'expression de désaccord (oulalah !) sur les réseaux sociaux de la part de non-professionnels de l'information - ceux que vous appelez "péquenaud" et "conspi" avec un mépris social que vous vous autorisez, vous l'aurez compris, abusivement.
En restant dans les sphères Rock et Metal, je dirais justement les fans de Pop/rock à la con qui passe sur Oui FM. Petits bourgeois et bobos pédants, mal rasés qui se la jouent torturés avec leurs coupe de cheveux mi-long immonde. Typiquement, un mec comme Saez cité plus bas, illustre même physiquement ce genre de mecs.
Mais dés que le volume grimpe un peu ou qu'il faut faire un riff un peu musclé, ça hurle "au bruit", le public des Eurock ou des vieilles charrues quoi. Qui prennent le Metal de haut au passage.

En dans le Metal, les fans de Metallica bien sûr, notamment les vieux qui payent les pigeonneries de leur groupe de depuis des décennies, tout en disant que c'était mieux avant, pourtant ils ont toutes les daubes comme St Anger ou Death magnetic jusqu'à aujourd'hui. Ils écoutent que Metallica ou AC/DC, les guns et du Motorhead, et plus récemment Ghost, sont fiers d'avoir leur pass Hellfest et ne s'intéressent pas beaucoup au reste.

Ensuite le milieu du Punk/Hardcore, ayant eu un ami qui a joué dans groupe qui a pas trop mal fonctionné durant quelques années (Mais qu'il a quitté sans se retourner), j'ai pu connaitre un peu cet environnement. Et derrière le discours et l'attitude "crew" se cachent d'énormes profiteurs et prédateurs.
Au delà de leur dégaine de clown insupportable.

Ensuite dans les milieux plus niche, je peux pas blairer notre scène Black Française avec les trucs style acteurs de l'ombre, avec leur public très parisien.  Et tous leurs groupes au concept prétentieux, totalement inoffensif et chiant. Où le plus gros du taff a l'air de passer dans l'artwork, le pressage du vinyle et du digipack hyper travaillé, tout ça pour finir en photo sur Instagram alors que LP n'a jamais tourné.
Le niveau de nuance et de complexité de ce discours est vraiment impressionnant. C’est comme éplucher les couches d’un oignon intellectuel.💝
https://reporterre.net/Reparer-son-velo-electrique-une-mission-bientot-impossible
« Ne pas aller vers le modèle de la bagnole »

Plus le vélo s’électronise et se perfectionne, plus la question de sa réparabilité et de sa circularité se pose. « On identifie un phénomène qui intègre de plus en plus le vélo dans une sorte d’économie linéaire, dépendante de différents prestataires. Pourtant, s’il y a un objet qui à la base répond aux critères de l’économie circulaire, c’est bien le vélo ! » insiste Thibault Quéré, directeur de plaidoyer à la Fédération des usagers de la bicyclette (Fub). Il fait part de remontées d’ateliers d’autoréparation, également confrontés à des difficultés, voire à l’impossibilité de réparer les vélos électriques.

« Il y a aussi le risque de devoir changer régulièrement la batterie, prévient Thibault Quéré. Il faut veiller qu’on n’aille pas vers le modèle de la bagnole, avec des pièces détachées venant du monde entier et une technologie embarquée complexe qui nécessite l’intervention des constructeurs à intervalles réguliers. » Une maintenance qui pourrait devenir coûteuse pour le cycliste, quand le vélo classique, lui, « est capable de rouler pendant quinze, vingt, trente ans… moyennant un moindre coût d’entretien », rappelle le responsable de la FUB.

Pour favoriser le réemploi et la réparabilité, « les acteurs souhaitent que la filière travaille à l’écoconception des produits », écrivait le député Guillaume Gouffier Valente, dans un rapport de mission sur la filière économique du vélo en France, publié en janvier 2022. « Des réflexions pourraient également être lancées pour avoir des standards un peu plus uniformisés et conserver la réparabilité », ajoutait-il, évoquant le cas des batteries qui ne sont pas, pour l’heure, interchangeables entre les marques.
https://radcaen.fr/index.php/2021/03/03/le-coming-out-fetichiste-de-sophie-labelle/
C’est quoi l’intérêt ? La prod est sympa mais pourquoi il y aun enfant de 13 ans qui rape dessus en faisant semblant de plus être puceau ?
Voilà, depuis quelques temps je garde ceci pour moi, car j'ai honte de cette consommation et vous saurez bien vite pourquoi. Au départ, mon addiction à la pornographie concernait des formats dits "normaux", si tant est que le visionnage de pornographie, où l'on est plus voyeur que participant, soit quelque chose d'anodin... Peu importe.

Dans mon adolescence, après avoir découvert ma sexualité en "solitaire", la pornographie prit vite le relai, et voilà que je montais à cinq fois par jours, et parfois même discrètement, en pratiquant à même des pièces où je n'étais pas seul...en essayant d'être discret.

Plus je grandissais, plus mon addiction que je ne considérais pas comme une addiction, mais quelque chose de normal, allait prendre de l'ampleur. Pourquoi l'aurais je considéré comme anormale, n'était ce pas mon groupe d'amis qui m'avait pour la première fois montrer un site pornographique, comme s'il ne s'agissait que d'une activité quelconque ?

Il y a quelques années, étant déjà adulte, je passais à la fnac et un article me laissait PANTOIS. C'était un casque de réalité virtuelle ! Ceux qu'on accrochaient aux smartphones. J'avais entendu parler de la pornographie en réalité virtuelle. Je ressortais avec le paquet tout fier, et très vite je commençais à multiplier les visionnages de pornographie vr. Au départ, forcément, le réalisme était ambigüe, il y avait des déformations, et des pixels visibles partout. Mais quel choc ! C'était à couper le souffle, car les mains des actrices étaient sur ce qui semblait être...ma peau, et mon cerveau allait imaginer le reste des sensations.

C'était aussi, à partir de cet instant là, que je me découvrais une addiction nouvelle, un peu étrange...Je téléchargeais, téléchargeais, des journées entières, et visionnait, visionnait...et puis c'est tout. Rien d'autre. Finalement j'en étais si dépourvu de moi-même, mort et dépossédée à la fin de la journée, que je supprimais les vidéos et mon casque : à la poubelle.

Ils annonçaient l'oculus, chez facebook...et là, face à tant d'avancées, je cédais. En plus, l'appareil était tout-en-un, et pas la peine d'y intercaler un smartphone. La qualité était meilleure, les déformations moindres...bref...je jetais à nouveau le casque. Honteux...

J'achetais ensuite plusieurs oculus quest, certains qui finissaient à pourrir à l'ombre, lorsque je m'astreignais à ne plus consommer de pornographie VR. Parfois je recraquais, car en allant sur le jeu VRCHAT, la sexualisation ambiante réveillait à nouveau mes pulsions...

Le cauchemar arrivait vraiment lorsqu'ils lancèrent les premiers oculus quest disposant du "passthrought". Une technologie de réalité mixte, où des caméras frontales filment l'environnement réel. Un studio pornographique avait profité de l'évolution de ces casques, pour y développer des vidéos avec fond vert, ou simplement une "IA" qui découpait les actrices de leur fond original....Voilà que les actrices étaient maintenant dans ma chambre, avec des proportions réelles. J'y passais des journées entières avant de devenir un véritable zombie. En allant dormir j'avais bel et bien l'impression d'être un cadavre qui retournais dans sa tombe, sans exagération.

Ensuite, j'ai commencé à perdre des centaines d'euros en tokens. Incapable de résister aux camgirls en réalité virtuelle. Je dépensais parfois deux cents euros par jours. L'immersion dans une chambre de camgirl, j'étais clairement pas prêt pour ça. Le niveau bien au-dessus.

Mais y'avait pire, car une camgirl s'était équipée d'un...fond vert. Je l'avais dans ma chambre, en direct ! Avec l'illusion qu'elle était allongée sur mon ventre, puis on discutait... Je lui ai lâché six cent euros à celle-là !

Finalement, peu de temps après, je craquais pour autre chose. Un masturbateur connecté, qui reproduisait le mouvement des stimulations à l'écran. Avec ça, j'ai littéralement sentit mes neurones fondre, car aussitôt j'arrêtais, aussitôt j'y retournais. Les intervalles étaient impossibles, catégoriquement invivables pour plusieurs raisons. Je devais y aller, encore et encore. Un type du forum, sur le site pornographique en question, me disait qu'il n'avait aucun problème à y passer...six heures d'affilées. Oui ! Bah mince, et les autres, pareil ! C'était moi le problème ?

Il y en avait un, malgré tout, qui se plaignait d'une addiction trop forte, réclamait au site des mesures de "limitations". J'avais envie de lui dire : " Fait comme moi, essaye de fuir ! " Mais, critiquer la pornographie, en tant que membre, sur un espace concernant son format le plus "dégénéré", c'était peut-être plus ridicule qu'autre chose.

Enfin voilà, je me suis séparé de ces outils, un matin où j'avais à peine conscience de moi-même. Juste après avoir eu une crise de panique, à cause de ce "voile" gris, qui se déposait sur tout, n'importe quoi, que j'envisageais....mais qui sonnait creux et terne, face à cette drogue où je ne pouvais faire que revenir, sans cesse....
Dealing w more transphobia in poop centric communities

Well, I've ranted in the past about these things. It's like, I'm nearly 22 and have been heavily involved in both the fart and scat community. I deleted a previous acct for a multitude of reasons and I'm glad to sorta reset y'know? I'm a proud transgender woman for the first time in my life and I couldn't be happier. Unfortunately because of this, I've just dealt with lots of hurtful messages as of late. I tried posting in r/girlsfarting and got permabanned without releasing they don't want trans women posting in there. Some scat communities have this rule too, which is bizarre considering so few new posters exist these days. There is the one trans scat subreddit but it feels lonely and limiting. As being a consistent poster on Reddit for now nearly 4 years, it feels posting my poop often wasn't enough or something. I don't know if I just didn't look feminine enough back then or what. But I'm happy with this new account as I now look the way I want to finally. I still love poop to no end, and love smelling it constantly, I just wish I had more options
Surveillance and Your Soul, or Why Privacy Is Essential

When pointing out the importance of privacy, a common rebuttal is "Well, I don't have anything to hide, so I don't care". This is a very grave misunderstanding. You do have something to hide. Something very important. Your soul.

The human mind and soul is a formidable thing, paradoxically powerful and fragile at the same time. A human being can be deprived of a surprising number of things, and still develop and prosper, but some human prerequisites are so essential that we will surely degenerate into malice without them. One of these is connection. Genuine connection to other human beings.

When opening up to the possibility of connection with others, we make ourselves vulnerable. To connect is to allow yourself to be seen, truly. This baring of ourselves is at the core of establishing trust, and trust underlies all connection. To shed your armor and let your own vulnerability be known to the other is a powerful gesture.

It is a leap of faith into the possibility of a shared reality. It is a risk every time, and exactly because of this, we prove our commitment by, at least temporarily, staking a part of our own security in the other. It is a brilliant and beautiful behavior, and we know it by heart because it is utterly essential to our individual and collective survival. It is at the core of voluntary unity and association. And without that - divided - we fall.

We also know intuitively all the subtle signs and signals that tell us when it is safe enough to engage in this behavior, and when it is not. Our attentiveness to these signals is razor sharp, and swift is their regulation of our behavior. This is a survival instinct after all.

A great number of different things will signal to us that it might very well equate to suicide to drop our defenses and make bare a piece of our soul. One of the most powerful danger signals would be the presence of the veiled observer: A third party that does not disclose their person, cannot be held accountable, and as such obviously does not stake any human commitment.

We know immediately and intuitively the danger. Information gained from our vulnerable state by the observer can be used to do great harm against us. In fact this, our intuition will tell us, is most likely the exact intent of the observer peering from the shadows, hence we wisely raise defenses, putting our soul and vulnerabilities back into hiding - back into protection. And thus, any real connection becomes impossible for the time.

If we wish to allow for human connection once more, we must escape to somewhere else. We must place ourselves and the people with whom we want to build trust and connection, within measures of protection: A place that allows in the others that are willing to participate in the reciprocal dance of trust, vulnerability, connection and human development, while keeping the veiled exploiters out. Only in such a place can human beings develop and manifest connection, truth and love.

Privacy, fundamentally, is this place.

Without privacy, human connection is impossible. Without human connection, we will degenerate into malevolence. We will die - and a prolonged, terrible and gruesome death it will be.

As a civilization, we have already walked too far down the path leading to this reality, and we are all responsible if we comply with its implementation. Digital surveillance is intruding into depths of our private lives unthinkable even a decade ago. Governments are eagerly pursuing the criminalization of end-to-end encryption, and attempting to mandate all communications providers to surveil human communication with an AI-supervised hotline directly to the police apparatus.

This is not the beginning of the end. We are already halfway there, and we must act now. The dismantling of privacy is an existential threat to civilization and to human prosperity.

You may believe you have nothing to hide, but you cannot hide from the reality that you have everything to loose: Every connection to everyone you have ever loved and cared about.
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Derrière la porte close, rien n'a changé. Le poster de danse. Le château Harry Potter en Lego. Ou ce petit mot : "L'amitié est le trésor le plus précieux qu'on peut avoir." Deux ans après la perte de leur fille cadette, les Dupuis vivent toujours dans leur pavillon ­d'Herblay (Val-d'Oise). "J'ai beaucoup de mal à aller dans la chambre d'Evaëlle, confie Sébastien, le père de famille. Quand j'entre dans la pièce, je la revois pendue." L'enfant a mis fin à ses jours le 21 juin 2019, à la veille des vacances, un foulard rose accroché à son lit mezzanine.
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https://agauche.org/2024/10/10/cavaillon-message-de-la-dz-mafia/
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Jamais ça ne s'arrêtera.

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