/ent/ - L’Entremonde

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Caliméro

>>1851
Ça va anon ? Tu as besoin de parler ?
>>1850 (OP) 
Théorie intéressante, je serais curieux de savoir si tu trouves.

>>1851
Lel.
Mes parents ont divorcé quand j'avais 13 ans mais j'ai beaucoup profité de la présence de mes oncles qui avaient une mentalité Marche ou Crève je suis bien content de les avoir eus. Passé un âge, on doit reprendre ce travail soi-même pour pas finir sur Tumblr. Et j'ai passé beaucoup de temps sur Tumblr.

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>>1853
>Tu as besoin de parler ?
c'est gentil de proposer, mais je gère assez bien le fait que l'existence ne s'apparente pas à un épisode de Midi les Zouzous. Comme tout le monde tu me diras, rien d'exceptionnel.
Mais demande à l'OP pour voir s'il n'a pas un bobo ou une tragédie sur lesquels chialer, je sens un potentiel

>>1918
OK gro dur

Peut être OP a-t-il des problèmes. Peut être pas et tu extrapoles. Peut être qu'il voulait juste partager une discussion sur une réflexion philosophique et/ou théologique qu'il a eu et dont le postulat me semble intéressant perso.
Puis quand bien même il a besoin de vider un peu son sac OSEF en fait, tu devrais peut-être juste te contenter de poster des mêmes nuls sur les Juifs qui te contrôlent, non ?

>>1920
Tout ne tourne pas autour des juifs, Anon.

Sinon, voir un potentiel n'est pas une extrapolation.

>>1920
>intéressant
Je t'avoue que j'ai du mal à voir pourquoi.
Les idées intéressantes sont fécondes en discussions mais là c'est pas trop le cas.

Si on accepte que la vie ne mérite pas d'exister, contrairement à ce que pensent et font 99.9999% des êtres vivants actuellement, alors la suite logique est qu'il faut l'interrompre
--> suicide
Si on penche à l'inverse pour le fait que malgré la souffrance, la vie vaut le coup, alors on a le choix d'explorer l'un des nombreux courants idéologiques qui expliquent le sens de la vie (religion, famille, patrie, postérité, richesse, hédonisme...) mais dans tous les cas ça sera loin d'être nouveau. Et le débât autour de ce qui donne son sens à la vie, quel que soit son cours, se base invariablement sur la prémice que la vie vaut le coup malgré tout.

Mais dans tous les cas, audelà de mes congectures peut-être que tu pourras nous vendre le cas de cette réflexion et nous expliquer ce que t'y trouves d'intéressant.

>>1949
Ce que j'y trouve d'intéressant :
>Comment s'appelle l'idée philosophique selon laquelle il aurait mieux valu que la vie n'aie jamais existé parce qu'elle implique la souffrance ?
Déjà je suis curieux de savoir s'il existe effectivement un courant de pensée dont le sujet de réflexion principal s'articule précisément autour de cette question, ses représentants, ses thèses, ses textes majeurs et le point de vue de ses éventuels détracteurs.
Après je suis d'accord avec toi sur la potentielle stérilité de cette question, oui si la vie est souffrance alors on se fout en l'air ou on la surmonte et on trouve des exutoires qui nous aident à dépasser, oublier l'idée de souffrance (ceux que tu cites par exemple).
Moi tout ça m'évoque du Nietzsche. M'enfin j'étais nul en philo.

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>>1850 (OP) 
C’est l’antinatalisme. Il me semble que l’œuvre la plus importante est Better Never to Have Been : The Harm of Coming into Existence de David Benatar. Je ne connais pas d’autres philosophes dont c’est l’œuvre centrale. Par contre, on retrouve de l’antinatalisme dans des travaux secondaires, même antérieurs à Benatar, chez des philosophes comme Schopenhauer ou Cioran.

>>1949
>>1952
Si on accepte l’axiome de base qui veut que la vie génère de la souffrance, alors l’antinatalisme apparaît comme un utilitarisme, un choix éthique, plutôt qu’un pessimisme. Je ne vois pas bien où est la place du suicide là-dedans.