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[Hide] (142KB, 1021x547) Reverse Les contacts avec les psy ont commencé assez jeunes.
Les profs trouvaient que j'étais trop introverti, trop rêveur, trop curieux, trop sensible et assez porté sur la tristesse (penser au suicide et à des concepts se rapprochant de la caverne à six ans c'est assez bizarre askip).
Forcément quand mes parents ont divorcés ça leur donnait un bon prétexte pour justifier tout ça et m'envoyer voir des pédopsy. Que de temps perdu, moi je ne me sentais pas particulièrement dans le besoin même si je me sentais différent de la plupart de mes camarades de classe. En plus je devais revenir le soir pour rattraper les leçons de l'après-midi que je n'avais pas pu voir étant au cabinet. Moi qui détestais l'école j'étais ravis.
De manière générale l'école à toujours été, aussi loin que je m'en souvienne un profond vecteur de tristesse pour moi.
Les psys ont tendance à te foutre dans une case qui semble correspondre avec l'interprétation qu'ils se font de toi, avec leur subjectivité et leur idéologie et ça ne t'apporte rien si ce n'est que des embrassements supplémentaires. Après tu grandis et quand tu rentres dans le monde adulte, ces conneries finissent par s'estomper et tu apprends à composer avec tes différences au point que tu en fasses une force.
Sinon d'accord avec VDD, je nourris beaucoup de méfiance avec la psychanalyse à vertu "thérapeutique".